Salam Aleykoum
ROSHDI
Les jours sont passés, les choses se sont précipités. Les préparatifs des mariages, les mariages, les préparatifs des déménagements et maintenant le déménagement en question. Il est 10 heures du matin et les camions de déménagements sont déjà partis, seuls la limousine qui emmène le harem jusqu'à leur nouvelle demeure attend patiemment devant le portail de la propriété de la famille Mdemba.
L'homme quitte le balcon, d'où il guettais le quatuor de ses femmes s'étant amassé un quart d'heure plus tôt. Même si il n'entendait qu'à moitié ce qui se disait il avais connaissance de la tension régnant entre les quatre épouses. Elles semblaient liguées les unes contre les autre, et pour lui cela ne presageait rien de bon, le long voyage qu'ils allaient effectuer pour rejoindre leur future demeure sera certes long mais encore plus avec cette ambiance de guerre.
Dans un soupire las il arrive enfin en bas de la maison de sa mère, celle-ci est sous le pas de la porte, même si il lui en voulais pour la situation qu'elle lui faisait vivre il ne pouvais pas la quitter sans rien dire. Alors dans un élan d'amour maternel il la pris dans ses bras et la serra très fort, celle-ci lâcha un léger rire avant de lui embrasser tendrement la joue puis de poser sa main sur celle-ci et de lui dire en le regardant dans les yeux :
— Tu es un homme fort mon fils, tu a toujours pris de ton père, même si tu garde au fond de toi mes qualités comme les défauts. Tu sera un bon mari et si Dieu le permet, ti sera rapidement un bon père de famille. Dit la vieille femme.
Roshdi ne dit rien, ne sachant pertinemment pas quoi dire. La sincérité de sa mère était toujours à rude épreuve, son sourire et son regard plein d'amour ne lui souhaitais que du bien. Il laissa alors ses lèvres s'étirer légèrement embrassa délicatement le front de sa mère.
— Je t'aime maman. Dit-il d' quittant les lieux, rejoignant son quatuor de femmes.
Il sentis le regard de sa mère sur son dos, s'éloignant progressivement il crus entendre de la part de sa mère :
— Pardonne-moi mon fils, moi aussi je t'aime. Et la voix de sa mère s'éteignit.
Quand il arriva près de ses femmes il les regarda rapidement avant de leur faire signe de monter dans la limousine. Quand ils furent tous installés dans la voiture, le chauffeur démarra sous la demande Roshdi. Alors chacune des femmes se mirent à leurs occupations, il se contenta alors de faire comme toujours, il les observa silencieusement, ch3rchant sans un mot à les connaitre.
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Une fois tout le monde descendus, le chauffeur salua tout le monde et alla garer la voiture dans le parking intégré au lieux. Roshdi regarda autour de lui, rien n'avais l'air d'être différent à ce qu'il avait vus en photographies les jours précédents. La maison était telle qu'il l'avais eu, dans un quartier riche de la ville, une maison à la marocaine, se composant d'un jardin patio intérieur, de 4 quartiers que se partageront les épouses : 4 chambres conjugales, 4 chambres d'amis ( pour accueillir la famille ou même les amis ), 8 salles de bains et WC, 1 grand home cinéma, une salle de sport intégré, 1 piscine intérieur et 1 piscine extérieur, un immense jardin entourant la propriété ainsi qu'un immense mur cachant la villa des yeux indiscret.
— C'est aussi grand qu'un stade de foot... marmona une des épouses.
Roshdi se retourna et observa Mahdia la plus jeune, complément choquée par la taille de la propriété... Celle-ci ne s'attendait sûrement pas à ça, comme les autres épouses, qui observaient bouches béates, la demeure...
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HAREM : Les Quatre Fiancées.
RomanceFils unique issus d'un couple riche de l'Afrique subsaharienne, Roshdi Mdemba se vois fiancé à 4 femmes choisi par les soins de sa mère après la mort soudaine de son père Hafsa, Amana, Esma ainsi que Mahdia ont étés choisies dans les 4 coins de l'A...