HAREM : Les Quatre Fiancées.

08: Jusqu'à l'aube.

Salam Aleykoum

ROSHDI

L'homme la regarde, la jeune femme était belle, même très belle. Ses yeux étaient légèrement tirés, et d'un brun profond, elle avait un petit nez et ses lèvres étaient pulpeuses, cette femme était très attirante. Elle lui parlait, sa voix était agréable, faisant hérisser les poils de ses bras. Elle lui donnait chaud.

— J'ai 24 ans et toi ? L'homme lui avais demandé son age, histoire de faire plus amplement connaissance.

— J'en ai 26 d'ici quelque moi j'en aurai 27.

— Tu te fait vieux ! Je me demande pourquoi tu ne t'es pas marié avant. Tu es loin d'être repoussant.

Elle n'avais pas la langue dans ses poches.

— Je n'y pensais pas vraiment enfaite. Il avoua. Merci et toi pourquoi ne t'es tu pas mariée avant ?

— De rien. Personne ne voulait d'une pauvre, et j'ai un caractère qui me fait rapidement repousser les gens. La où j'habitais depuis enfant on me surnommait la Lionne... Vas savoir pourquoi.

— Tout simplement qu'a ta naissance ta mère savais que tu serais une Lionne [Hafsa]. Roshdi souris. Tu ne me repousse pas moi.

— Hmm, peut être bien. Elle regarda le vide pendant quelques secondes, puis revins à elle. C'est peut-être parce que j'aime bien être avec toi ?

— Alors on est surement 2 à penser pareil. Roshdi lui offrir un sourire complice.

Hafsa ris légèrement, son rire fit frémir le coeur de l'homme, elle ne le rendais pas indifférent face a ses multiples charmes. Sa simplicité et sincérité le charmaient depuis le début.  Il eu tout à coup l'envie de l'embrasser avec fougue, mais malgré lui faisait faire ses émotion. Rien ne servait de réagir avec les sentiments, il pouvait paraitre froid mais il avait toujours été comme ça, contrôlant du mieux qu'il pouvait ses réaction face à ses sentiments.

Et cette envie de s'emparer de ses pulpeuse lèvres devait être contrôlée, il ne voulait pas lui faire peur, pas la brusquer le premier soir. Ils étaient enfin seuls depuis qu'elle était arrivé et il ne voulait pas gâcher ça.

— Pourquoi tu n'enlève pas ton veston ? Tu compte repartir ? Demanda innocemment la jeune femme a ses côtés.

— Non, je ne sais pas, tu veux que je reste avec toi ?

— Eh bien... Je ne sais pas, c'est à toi de décider... Elle semblait hésiter dans ses pensées.

— Je compte passer la nuit avec toi, si c'est la question que tu te pause. Finit-il par dire en enlevant son veston.

La jeune femme se tut, face à ses mots. Quand il se débarrassa de son veston il alla la déposer sur le divan près de la fenêtre de la chambre. En revenant vers la jeune femme il profita du moment pour desserer légèrement sa cravate.  Il se rassis près d'elle.

— Tu sais que tu es immense ? Lui fit elle remarquer.

— Je ne suis pas immense, tu es juste... Petite. Dit-il, légèrement moqueur.

— Je ne suis pas petite moi, je fait presque 1m70. Lacha fièrement Hafsa.

— Presque. Appuya Roshdi. Moi je monte sur les 2 mètres. Ajouta-t-il.

— Esxuse-nous monsieur le géant ! Dit Hafsa, de manières faussement hautaine.

Elle lui arracha un rire, il se sentait a l'aise avec cette femme, et elle lui plaisait, c'était indéniable. Voyant qu'elle l'observait aussi, il détourna le regard, elle ris encore une fois.