Amour de Gro(ai)sse

Les intentions du Second Leader

S'était un peu le topo sur comment Jamie et moi sommes devenu amies. Maintenant revenons au présent svp....😅😂😂

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....: Tu es plutôt courageuse n'est-ce pas la grosse.
J'écarquillais les yeux de surprise. Grimaçant de douleur en citant le nom de mon agresseur.
- ...ahh.. Towens...
- La grosse graisse que je connais est de retour, gifler Kera 2 fois de suite en te moquant ouvertement d'elle devant tout le monde. Bravo, je suis surpris. Mais content de retrouver la grosse pour qui je prenais le pieds de la martyriser.
- Qu'est-ce... Qu'est-ce que tu entends par là, imbécile?
- J'entends par là que j'aime quand tu te défends, quand tu résistes, plus quand tu le fais avec moi. C'est bien plus amusant.
- Tu es vraiment stupide, dis-je en riant toujours avec une petite grimace du à la douleur qu'il m'infligeait en tirant toujours aussi violemment sur mes cheveux.
- Je le sais la grosse, tu mérite que je t'arrache quelque chose, alors que tu as tant de cran. Personne n'ose me parler comme tu le fais en ce moment; sans savoir ce qui suivra pour lui, mais toi tu le fais sachant bien ce que je suis capable de te faire.
- On appelle chien par son nom, pauvre imbécile.
- Ce doit être pour ça qu'Irwine s'est arrangé à tous nous valser cette année. Je sais bien ce qu'il a derrière la tête. Après tout, on a quand même grandit ensemble.
- De...de quoi...tu parles. Tu es fou!
-Tu devrais le savoir depuis le temps. Il resserra son emprise sur ma chevelure.
- Dit donc maintenant que je regarde de plus près, tu as beaucoup maigris ces vacances, tu t'es enfin décidé à ne plus être un éléphanteau.
-Arrrgh... Tu vas me lâcher...oui ou non
-Ce n'est pas parce que Irwine n'a pas réagit quand tu as balancé ces affaires par la fenêtre, que tu as gifler Kera deux fois, que tu va mal me parler et que je vais te regarder comme un poux sans rien faire.
- Je riais en oubliant la douleur, puis dit: et tu crois que j'ai peur peut-être.
Il s'approcha très lentement de mon oreille et m'y sussura un: Oui tu devrais.
Et en passant très jolie le décolleté plongeant, j'adore: d'ici j'ai une très belle vue.

En entendant ça, je rougis et au même moment ma main libre qui tenait la sienne, alla frappé son ventre. Mais il ne bougea même pas. Il riait plutôt.
Accentuant un peu plus la pression sur mes cheveux pour cette fois les tirer d'un côté, machinalement ma main revint sur ceux-ci. Alors Il remarqua les marques rouges sur mon cou qui apparemment avaient presqu'enfin disparue et me questionna.
- Qui t'as fais ça ?
- Ça ne te regarde pas, occupe toi de tes fesses.
- Je vois, inutile d'insister, j'suis sûr que c'est Irwine qui les à faites.
Je grognais. Et il rajouta: «Mais ce n'est pas grave, parce qu'il faut qu'il comprenne quelque chose aussi.». En disant ça: je sentis en quelque secondes quelques chose de froid dans le cou. S'était sa bouche. Il relâcha un peu la pression qu'il faisait sur mes cheveux, ma main libre essayait de le repousser.
- Mais qu'est-ce que tu fais, tu es devenue fou, lâche moi pauvre imbécile.
Il continuait, il aspirait comme une sangsue ma peau, et je compris qu'il était en train de me faire des suçons.
- Arrête, arrête toi tout de suite Towens, arrête je criais.
Il s'arrêta, puis me répondit : tu peu crier si tu veux. Mais je doute qu'on t'entende, c'est l'heure du déjeuner, tout le monde est à la cantine ou dans un resto du coin de plus j'ai bien vérifier les couloirs et ta copine avant de te rejoindre ici. J'arrêta de le repousser et dit:
- Tu es vraiment un chien! En réponse à ma phrase, il reprit ses suçons dans mon cou et cette fois-ci, je sentis quelque chose de chaud et d'humide sur ma peau. S'était sa langue. Il faisait des cercles avec et des va et viens avec celle-ci: de mon cou jusqu'à mon menton. Je le repoussais mais envin.
- Tu es DÉGUEULASSE, ne me touche pas imbécile, tu n'as pas le droit.
- J'ai entendu dire que tu étais encore vierge.
Aussitôt je le repoussa avec plus de force.
- Je prends ça pour un oui alors. Tu ne voudrais pas que j'aille plus loin la grosse !?
Disant cela, il me retourna vers lui, avec une grande force, me saisissant cette fois-ci les deux mains.
-Je t'ai dit que je devrais te prendre quelque chose n'est-ce pas.
Je le regardais avec du dégoût.
Et il reprit.

-Tes lèvres, aujourd'hui je veux seulement tes lèvres.
J'ouvris grand les yeux et au moment ou il allait m'embrasser je détourna la tête. Et ses lèvres trouvèrent le creux de mon cou. Je le sentais y plaquer un sourire puis il sortir une fois de plus sa langue et je la sentais descendre jusqu'à mes clavicules, il s'arrêta net où commençait à se montrer mes jumeaux fit quelques cercles avec sa sa langue, juste à cet endroit. Ce qui me fit frissonner et étouffer un gémissement qu'il réussit tout de même à entendre.
- Apparemment c'est une zone assez sensible, et je remarque que tu n'es plus tellement de marbre. Il fit encore quelques suçons à cet endroit pendant que je gigotais dans tous les sens pour l'empêcher de faire, puis remonta jusqu'à mon cou, et me murmura à l'oreille.
- Puisque tu m'as refusé tes lèvres, aujourd'hui je vais me suffir de ça. Mais désormais chaque jour je te prendrai quelque chose. C'est une promesse, et si je ne le peux pas, et bien sache que tu auras une dette envers moi et j'suis plutôt quelqu'un de dure à satisfaire autant qu'Irwine crois moi.

- Enlève tes salles pattes tout de suite, tu n'a pas ce droit là; pour qui tu te prend!

Je crachais sur son visage. Et il sourit tout en me lâchant.
Je m'éloigna de lui aussitôt, tira ma chemise et sortit vite des toilettes des filles sans qu'ils n'essaye même de me retenir.

******Towens*******

Quoi que tu fasses ou que tu ai derrière la tête Irwine. J'ai pris les devants, et je ne te laisserai pas cette grosse. Oui elle me plait, m'excite et la voir me résister m'excite autant qu'autre chose. Je ne suis pas encore sûr de tes sentiments pour elle. Mais quoi qu'ils soient: cette année je ne te la laisserai pas. Toutes ces premières choses qu'un homme peut faire ressentir à une femme, toutes je les lui ferais découvrir le premier. Et même toi mon frère, je ne te laisserai pas te mettre en travers de mon chemin.
Chery Crosse Graisse, soit en sûr, tu seras à moi, et tu me suppliera de te prendre.
Dit-il en se regardant dans le miroir après s'être lavé le visage.

---------------- À suivre --------------------

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Voilà, c'est tout pour le moment. J'espère que je ne suis pas allé trop vire dans l'histoire mais bon. Après maintes réécritures de ce chapitre avec pour support une feuilles d'idées déjà élaborées, j'ai finis par complètement changer ce que j'avais en tête, et publier au final l'inspiration qui n'est venu à la dernière minute. En espérant que ça vous aient plu, ou que vous n'ayez pas été trop déçu du Chapitre.
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Dans le prochain numéro je mettrais en facteur le personnage d'Irwine, en le laissant partager ces pensées avec vous.