Amour de Gro(ai)sse

Le Départ et Les Embrouilles (Partie 2)

Précédemment...

Il venait bien de me traiter de grosse à l'instant, pour qui se prenait-il celui-là, je revins un peu sur mes pas, je lui adressa de même un sourire.

- Et vous, je suis sûr que vous savez que votre peau épouserait parfaitement ma pomme gauche... Je le claqua durement.

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Le bruit de cette gifle qui retentit eut le bénéfice d'attirer tous les regards environnants y compris celui de mon père pensais-je.

Un peu surpris au départ l'inconnu répliqua: C'est remarquable le nombre de choses que je sais, voyez: je sais ça aussi... Il me sourit de plus belle après la gifle, me rapprocha délicatement et le plus possible de lui puis m'embrassa sans se faire prier... Si soudainement.

J'étais littéralement sur le cul( vous m'excuser), je le sentais sourire sur mes lèvres. Il emprisonna à nouveau ma taille alors que j'essayais enfin de m'échapper de son baiser, quand cette sensation me rappela quelqu'un, une situation un peu semblable d'il y'a peu...
Étonnement j'y pris goût, et il prolongea notre échange tout en reprenant la danse... Je sentais autour de moi les regards certainement imcompréhensifs des gens, et ceux-ci vite fait retourner à leur occupation supposant certainement une petite dispute entre couple: et le problème c'était ça; que je ne connaissais cette personne ni d'Adam ni d'Ève mais que je prenais malgré tout part à son baiser. À bout de souffle nous rompions cet échange salivaire pour se regarder dans les yeux.

- Qui es-tu au juste, lui demandais-je avec dans la voix toute l'intrigue du monde?

- Ça mademoiselle Jolie cœur, tu aurais du me le demander bien avant de me laissé t'embrasser.

Je baissai la tête gêné, ce n'était pas faux même si au départ c'est lui qui m'a clairement embrassé. Il releva mon menton et me dit:
- De toute façon si je te disais qui j'étais dès le départ, tu m'aurais une fois de plus fuis.

- Alors je te connais!

- Et moi aussi, mais pas encore comme je voudrais.

- Mais comment voudrais-tu me connaître alors?

- Comme... Quelqu'un nous interrompit en tapotant légèrement l'épaule de mon Chèr inconnu.
Lorsqu'il se retourna il fit face à mon père :
« Jeune homme, puis-je vous emprunter un instant cette demoiselle? » avec un regard qui se voulait réprobateur et influent, de plus sa phrase avait plus l'air d'une affirmation que d'une question.

- Je vous en prie Mr, si celle-ci n'y voit pas d'inconvénients. L'inconnu se retourna vers moi et je lui fis signe de la tête mon accord, alors il céda et me laissa valser avec mon père.
Et comme je me disais Papa avait certainement tout vu.

- Est-ce que ça va ma Chérie ?

- Oui Papa, pourquoi ?

- Tu me demandes pourquoi, alors que tu venais juste de giffler violemment ce jeune homme devant tout le monde et que juste après vous avez finis par, hum hum...enfin voilà, vous bécoter.

- Ah, ça; répondis-je dans la gêne suivis d'un rire sourd.

- Mademoiselle Émily Chery Cross Grâce, c'est tout ce que vous avez à dire pour votre défense!?

- Nous n'avons pas fais exprès de faire toute cette scène, dis-je tout bas comme honteuse.

- C'est de mieux en mieux comme justifications ça. Et ce garçon tu le connais?