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Docteur : votre frère, est sortie d'affaire, il vien de ce reveiller l'un d'entre vous peu le voir une dizaine de minutes les visites sont finis. Vous n'avez qu'à revenir demain aux heures de visite.

Rafik ma regardé

Rafik : va si toi, ta plus besoin de le voir que moi

Moi : merci,

Rafik : j'attend ici va

J'ai suivie le docteur jusqu'à la chambre de Rayan, quand je suis entré je suis resté choqué par les machine qui y avais autour de lui.

Le docteur ma expliqué que c'était des drain qui servais à le faire mieu respirer.

Je me suis approché, il avais une sale mine.
Tout blanc pas bien.

Il clignait doucement des yeux.

Moi : mon frère.... Putain qui ? Dis moi ? Je te laisserais pas comme ça !

Rayan : ma femme ?

Moi : elle est chez rafik avec les filles t'inquiète même pas ! .. dis moi rayan ta vu quelqu'un ?

Rayan : ouais

Il grimaçait de douleur entre chaques mots

Rayan : une meuf, .... elle te cherchais, ..... cette balle que j'ai pris ...... elle était pour toi.

Je suis tombé de haut quand il ma dis ça. C'est quoi ces histoires encore la !! Putain.

Moi : une meuf ?! Mais non !!! Qui???

Rayan : Je sais pas, ..... c'est pas une fille du..... quartier.

Moi : je vais trouvé c'est qui !

Rayan : une brune..... blanche.... elle avais un accent.

Putain je vois pas du tout c'est qui. Le docteur est entré pour me dire de partir.

Moi : allez Rayan, repose toi t'inquiète pas.

Rayan : toi .... fais attention à toi. C'était..... Toi qui était....viser.

Je lui ai fais signe oui et je suis sortie rafik m'attendais pour avoir des nouvelles et que je le ramène.

Il était assis blanc comme un linge. Quand il ma vu il sait levé cache

Rafik : alors ?? Ça va pour lui ?

Moi : ça va Hamdoulilah, il parle Il est réveillé bon il est branché mais il est bien.

Il a soufflé comme un fou en regardant le ciel

Rafik : merci mon Dieu.

Il a frotté son visage et il ma regardé les sourcils froncé.

Rafik : il a vu quelques choses ? Eh je te préviens je veux pas de vengeance Dieu vois tout et s'en chargera.

Moi : viens on rentre, ma femme est seule à la maison.

Rafik : allons y

Je l'ai déposé chez lui et je suis rentrée chez moi. A peine j'ai ouvert la porte j'ai vu ca tête toute apeurée. Elle sais levé du canapé et elle venu pas bien vers moi.

Shara : ça va ?? Il va bien ?

Moi : hamdoulilah.

Elle est venu direct dans mes bras.

Shara : heureusement.... c'est tellement dur de perdre un frère...

Y a eu un long silence ou je l'ai serré fort contre moi. Je la sentais sur le point de pleuré ça me faisais mal .... c'était de ma faute... j'oublierais jamais... pour des histoires de quartier son frère est mort. . Eh la on en voulais à moi et mon frère a été blessé de ma faute . .

Chronique : L'AMOUR A DES DENTS ET SES MORSURES NE GUÉRISSENT JAMAIS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant