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Je suis sortie en poussant la porte légèrement sans la claquer je lui parlais doucement.

Moi : tu fais quoi la ?

Elle ma regardé toute choqué.

Imen : désolé je m'inquiétais pour toi. J'ai appeler ton travail il mon dis tu avait pris des congés. Alors je suis venu. J'ai vu des voitures devant je suis pas entré avec ma clé. J'ai sonné.

Moi : y a ma famille la chez moi je te rappel plus tard.

La porte c'est entre temps un peu ouverte, elle a regardé au dessus de mon épaule dans l'appartement.

Je me suis retourné y avais Shara pas loin.

Imen : c'est qui ?

Moi : ma soeur ! A plus tard.

Je suis rentré dans l'appartement lui claquant la porte au nez. Miskina. Pas le choix la elle débarque comme ça.

Ma soeur me regarde de travers, ma belle soeur cuisinait.

Moi : tu veux quoi ?

Raissa : va te lavé !

Moi : va te faire !

Je suis retourné dans ma chambre elle y était elle aussi, elle y était retourné pour m'attendre.

Je lui ai dis en cherchant mon paquet de clope dans ma veste.

Moi : lâche moi, c'est bon on a assez parlé.

Shara : c'était ta meuf ?

Moi : dégage la.

J'ai allumé une clope.

Shara : dis moi que tu ne ma pas oublié. Que toi aussi tu pense toujours à moi.

Je l'ai regardé zehef. Je comprenais rien.

Moi : tu joues à quoi la Shara ?? Arête tu sais très bien je suis pas pour toi tu mérités mieu avec tes frères tout ça wallah. Bref ta un mec resté avec. Pourquoi tu viens là ? Tu cherche les problèmes.

Shara : mais-

Moi : y a pas de mais. Je t'ai vu avec. T'es bien il prends soin de toi. Rlass

Shara : ta plus rien avec moi ?

Sayais. On y venais. Je la regardais, elle retenais ces larmes. Y a eu un petit silence.

Moi : tu sais très bien arête. Me le fais pas dire. Ça ma tué de te voir avec lui mais wAllah c'est mieu c'est pas un taulard.

Shara : je te connais, je men fou de ça. Tu le sais... rahim, Moi je veux me marié avec toi. ..! C'est se que je veux, te sortir hors de tes problèmes. J'ai promis à ta mère de prendre soin de toi.

Mon coeur il me tapais durement dans le torax je virais du crâne. Mes oreilles elle chauffait.

Moi : arête arête. Parle pas se ça. C'est pas le moment. WAllah sil te plait.

Shara : je veux pas te laissé comme ça !

Moi : sors d'ici. Continue ta vie.

Sayais elle pleurais. Ça me brulais de la repoussé alors que je la voulais près de moi à chaque instant.

Moi : allez.

Elle est sortie en chialant de la chambre. Je suis partie me douché.

Pour être honnête sous la douche j'ai chialé un coup. Comme une pute. Je tenais plus la douleurs elle me tuait. Je suis resté 20 minutes

Chronique : L'AMOUR A DES DENTS ET SES MORSURES NE GUÉRISSENT JAMAIS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant