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Quelques jours avaient passé, je marchais enfin bien, je me fatiguais vite je prenais bien mes traitements mdddr ma femme y veille.

Il était 10heures j'étais devant la télé elle elle faisais le linge quand ça a tapé fort à la porte. Je suis allé ouvrir.

Je le sentais pas.

Quand j'ai ouvert je me suis dis je suis mort.

... : Selem ! Tu taf plus ? Pourquoi ? Et ca nous invite pas ? Elle est pas ici ma soeur ?

Il est entré. C'était bien évidement haytman il a regardé un peu partout. Et ma  regardé de haut en bas

Haytman : ta grave mauvaise mine ! Ta perdu du poids aussi nan ??

Moi : selem , elle pends le linge dans la chambre.

Je pouvais pas crier. Je suis allé jusqu'à couloirs.

Moi : Shara, c'est ton frère vien, prépare le thé

Elle a ouvert la porte de la chambre avec de gros yeux zehma QUOI. Je lui ai fais signe vien avec ma tête . Elle est venu direct.

Son frère était assis dans le canapé.

Lui : alors, ça va pas ?

Moi : rien de grave une grippe. J'ai pris un arrêt.

Oui : ah bon ? Fallais me dire ! Ma femme t'aurais préparé de la soupe ma mère aussi !!!

Moi : Shara c'est bien occupé de moi ça va déjà mieu !

Quand elle est arrivé au salon il sais levé du canapé pour lui dire selem. J'étais resté debout. Il la regardé bizar, les sourcils froncé. Il a touché sa groutte sur son front.

Haytman : c'est quoi ça ?

Il sait retourné direcr en me mattant de travers.

Haytman : tu l'as frappé ?

Il est bizarrement très calme.

Shara : non !

J'ai même pas eu le temps d'ouvrire la bouche. Il sait retourné sur elle.

Haytman : c'est quoi alors ? Ça avait l'air profond !

Shara : c'est pas lui ! Je me suis pris la porte du placard dans la tete ! Je voulais pas vous inquiété, que tu crois justement ça.

Haytman ma regardé.

Lui : dis quelques choses non ? Tu la laisse fasse à moi ?

Moi :  tu crois je la frappe? Elle te la dis elle  même. Non.

Il est venu vers moi, je commencai à être mal de resté  stoïque sur place.

Lui : ta l'air vraiment mal, toi. Pour pas faire de cinéma.

Je me suis assis sur le canapé.

Moi : ouais. Mohim. Laisse la. Elle est bien avec moi, tout va très bien. J'ai rien à lui reproché. Je leverais pas ma main sur elle.

Lui : bon ... mais dis moi le quand y a un truc comme ça. Nous on a pas aimé pas la voir pendant presque 1 mois ! Ma mère elle est trop zehef d'être tenu à l'écart.

Moi : venez mangé se soir ?

Lui : tu vas tenir un dîner ?

Moi : j'irais dans la chambre me reposé si ça va pas. On fais ca je veux rassuré votre mère.

Lui : très bien.  Je suis ravi de l'entendre. Je la ramène se soir. Mon père restera sûrement chez lui. Je viens seule ma femme resteras avec mes filles. Tu es mal je veux pas qu'elles crient ici.

Chronique : L'AMOUR A DES DENTS ET SES MORSURES NE GUÉRISSENT JAMAIS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant