chapitres 3

1.2K 24 0
                                    

Il ma tiré jusqu'à la voiture et on sait éloigné du parking, je suis grave sous tension je voulais tapé ... encore et encore.

Mes nerfs il se calmait pas , Nadim et Chahid sont des frères pour moi. Je laisserais personne s'en prendre à eux c'est ce qui ferais pour moi.

Chahid ma écouté insulté le monde entier une heures ou deux je sais plus trop, je tapais dans la voiture, lui il disais rien il m'écoutait en fumant du shite. Moi je touchais pas à ça, y avait déjà assez de haram dans ma vie avec la rapta, le bizz, les go et j'en passe. ..

On sait changé toujours des rechanges dans la vago ! Mdr c'est important !

Il ma déposé et il est rentré.

À peine j'ai ouvert la porte, j'ai vu mon frère assis dans le fauteuils. Il manquait plus que lui. Je savais que j'allais prendre cher.

Il a allumé la lumière.

Rafik : c'est à cette heure la qu'on rentre? Pshartek tes efforts. Tu m'avais pas juré que tu ne rentrerais plus à des 7 heures du matin ?

Je dis rien j'écoute à moitié en fouillant le frigo.

Moi : elle est pas la, la yemma ?

Il sait levé et ma attrapé par le col de ma veste, il ma assit sur le canapé et lui devant moi, sur le fauteuil. Je bronchais pas.

Rafik : je te parle sérieux ... Rahim tu veux finir comme rayan enfermé entre 4 mur ? Reprend toi, pendant que tu le peux encore mon frère, parle avec Allah il t'aidera, confit toi à lui sa seras toujours mieu que tes petits merdeu de shab.

Moi : bref, rafik.. laisse tombé. Je sais que ta raison.

Rafik : pourquoi tu le fais pas alors ? Hum ? explique toi ? T'attend quoi ? Qu'il soit trop tard ? Je m'inquiète pour toi.

Je sais qu'il a raison et que si je continue je vais cramé mais c'est ma voix a moi, c'est mon mektoub, la rue. Et ca il peut pas le comprendre, ni même le concevoir.. j'avais aucune réponse valable à lui donné.

Rafik : oh, tu réponds pas ?

Je me suis levé. Je voulais pas rentré en conflit avec lui. Ni même me prendre une moral dans la geule.

Rafik : bon... j'ai compris, amène maman elle a un examun à passé à l'hôpital. Je taff je peux pas.

Il sait levé lui aussi et a serrer fort mon épaule une seconde, avant de me dire.

Rafik : la prochaine fois, que maman.... wAllah je serais pas gentil. Elle est chez moi avec ma femme et Raïssa tu passes les prendres à 15 heures.

Moi : ok. Ok Selem.

Il m'a salué et il est sorti je me suis direct jeté sur mon lit. .. j'aime pas çà quand il vient comme ça pour me coincer . Me retourné le cerveau avec ces discours. je préfère les coups ca me fais moins vriller du crâne.

J'ai mi mon réveil et dis à chahid de posé la vago pour 14h30 devans chez moi. Et je me suis endormi.

14heures le réveil sonne ca me fais grave mal au crâne. J'ai les nerfs.

Je me lève me prépare, et je descends, mes poings était encore en feu de la veille.

La voiture et en bas devant le bloc, je monte et vais prendre ma mère et ma soeur chez mon frère. Je galèrais avec mes mains sur le volant ça me brulais.

Une fois devant , j'ai appelé ma soeur sur son phone.

Raïssa : hellllooooo !!!!

Moi : oooooohhhhhh !!! doucement ta race !  j'ai la tête en feu, baisse d'un ton ! Je suis devant sortez vite !

Chronique : L'AMOUR A DES DENTS ET SES MORSURES NE GUÉRISSENT JAMAIS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant