Ne meurs pas

Chapitre 3

Je marchais rapidement dans les rues de central, ne voulant arriver trop tard chez moi. Mais, devant moi, se trouver un Alphonse visiblement inquiet.

- Que fais tu  ici ?

- Colonel. Je recherche mon frère. Il m'a dit qu'il rentrerait avant onze heure et pourtant, il est minuit !  Je m'inquiète, vous comprenez ?

- Je vais t'aider à le chercher. A deux, sa ira plus vite.

- Merci colonel !

Et je me mis à apparentait les rues, allant de bar en bar, cherchant dans les hôtels. J'allais finalement abandonné, trop fatigué pour continuer, mais un cri atroce se fit entendre. On aurait penser que le propriétaire de cette voix ce faisait torturer et c'est cela qui m'inquiéta le plus. Je pouvais facilement reconnaître Fullmetal et Je me décidai de le dépêcher vers le cri.

Le regard remplie de terreur de mon jeune subordonné me fit frémir sur le champ et la voix sèche du lieutenant qui disait que le  prisonnier c'était échappé. Un rapport ?Sûrement.

Et là je le vis. Par terre, dans une flaque d'eau. Me demandant ce qu'il faisait là, en si mauvaise posture, je le pris dans mes bras et partit en direction de l'appartement  d'Alphonse.

Je toqua rapidement avant de rentrer à l'intérieur et de le déposai sur le canapé. Je voulu m'éloigner mais l'une de ses mains vint s'agripper à ma veste. Je me serai détaché en temps normal mais quand je vis les larmes commençait à couleur sur ses joues maigre, je me décidai à rester. Le voir ainsi me faisait mal au coeur et une envie terrible de le protéger me submergea totalement. Ce fut une voix douce et craintive qui me ramena à la réalité.

- Colonel, vous avez retrouver Ed. Merci encore.

- Je t'en pris Alphonse.

- As t il était blesser ?

- Non, je n'en ai pas l'impression.

- Merci. Voulez vous que je vous remplace ?

- Je ne peux pas, Fullmetal s'est approprié de ma veste.

Et le plus jeune de la pièce se mit à rire. Mais il s'arrêta subitement et partit dans une autre pièce. Alphonse revint, tenant un carnet dans ses mains.

- Vous devez sûrement vous demander ce qu'il c'est passé durant cette mission. Alors tenez, c'est son journal de voyage.  J'ai lu une seule page, en l'attendant et je n'ai pus m'empêcher, excusez moi colonel, de vous en vouloir.

- Moi ?

Je pris du bout des doigts le fin carnet marron et l'ouvrit à la première page. Il y était noté c'est impression pour sa première mission.
Je sauta lez cinquante première page et tombit sur sa dernière mission. Et, au fil des mots, mon envie de vomir se faisait de plus en plus forte. J avais l'impression de tomber dans un coussin tout doux :

《Cette  homme, cher journal, il n est pas humain. Aujourd'hui, je l'ai croisé  et toute envie de me battre s'était subitement envoler.
Le regard qu'il me  lança n'était pas normal. Il avait déjà vu plus d'un mourir. Je pouvais voir le sang danser dans ses yeux.
Le sourire qui se peint sur son visage avait quelque chose de menaçant et de cruel. J'avais cette impression qu'il savait que j'était là pour lui.
Les mains qui se baladait sur la table du restaurant avait encore la marque de ses précédente victime.
Cet homme était vicieux et dangereux. Je ne pouvais me battre contre lui...
Colonel, je vous déteste... 》