Chapitre 8

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Alphonse dormait, assis sur une chaise. Je souris doucement avant de me reprendre. Je n'avais pas le droit car tout était de ma faute. Et ce soir, j'empêcherai la faute de se produire. Je suaverai tout le monde, le colonel, le lieutenant, Breda, Havoc et Alphonse... .
Je me levai doucement, et sortit de mon lit. Je savais que j'étais dans un hôpital et qu'une infirmière viendrait toute les heures. Alors il fallait faire vite.
J'ouvris la fenêtre et sauta. Je n'avais plus peur. J'avais juste un goût amer dans la bouche. Le vent sifflait autours de moi mais quand mes deux pieds toucherent le sol, je m'ecroulais.

Heureusement, je n'avais rien de sérieux, sûrement une jambe fracturée, et repartit. Je savais qu'il fallait que j'aille au QG de l'armée.
Quand les soldats me virent, il furent étonné et surpris. Mais je n'avais pas le temps... Pas le temps... Pas le temps...

...

....

...

...

Je ne sais comment mais quand je rouvris les yeux, je me trouvais dans un endroit sombre et inquiétant. Une sensation de malaise s'insinua en moi et je mis ma main dans ma poche pour vérifier que l'objet que je cherissai était toujours là.

- Bonjour nabot !

- ...

- Hum... Je te préviens, tu es dans une cellule qui absorbe ton énergie et ton alchimie. Comme tu es un sacrifice, il faut que tu reste tranquille !

- Pourquoi ?!

- Hein ?

- Pourquoi avoir tué tout le monde ?  Hein pourquoi ? Ça vous amusé de provoquer des bain de sang ?!

- Tu deviens cinglé, nabot ! 

J'avais la bouche sèche. C'était maintenant ou jamais.  Je vérifia que Envy soit partit pour sortir la boîte de ma poche. 
J'avais maintenant peur. Maintenant que j'étais dans cette prison, je ne pourrais ressortir vivant. Mais après tout, c'était ma punition ?  Non ? J'avais tué tout le monde, il fallait bien que je paye, non ?

J'en alluma une et regarda la flamme dansait. Je la j'était loin devant moi puis fit le même geste jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien. Plus rien... J'étais exténué... Cette action avait drainé toute mon énergie... Mais, heureux, je voyais les flammes s'éparpiller, la fumée s'élevait... Les cris... La peur... Maintenant que les homunuculus étaient vaincu, plus personne ne mourra... Plus personne....

Pardon Alphonse...

Ne meurs pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant