Chapitre 2

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Non... non... non ! NON ! Je me mis à courir vers la sortie, les larmes commençant à couler, ne prêtant attention au regard inquisiteur des autres. Il ne pouvait être en liberter, il semer la terreur à chacun de ses passages. Je me rappellai avec effroi et tristesse les corps morts de mes camarades. Le sang coulant tel une rivière. Et le silence... le silence...

- Nii-san ?

Je venais de rentrer dans Alphonse, qui me regardait, inquiet. En le voyant, je me dit que je n'avais le droit de montrer mes problèmes. Ce serai injuste envers lui.
Je hocha de la tête, n'aillant la force de parler.

- Ed...  Je ne t'ai pas vu depuis un mois et... Je trouve que tu as changé.  Que c'est il passait ? Tu as été traumatisés ? Torturé ? À moins que ce ne soit pas toi. Peut être n'est tu pas mon frère.

- Al... Maison...

Il me regarda surpris et je le poussa pour sortir.  Je n'avais pu parler fort mais je savais qu'il m'avait entendue. Je le sus en entendant les pas derrière moi. 
Je me retourna et lui montra la gauche.

- Pourquoi ne veux tu pas rentrer ? Il se fait tard.

- Besoin...

- Fais attention à toi, alors. A se soir ?

Je hocha de la tête et vit mon frère partir en direction de notre appartement. Je pris à gauche et marcha de plus en plus vite.
Mais quand une voix d'outre tombe se  fit entendre, je frissonnai violemment de peur.

- Alors mon cher ange... Tu n'en as pas eu assez, la première fois ? Tu veux savoir la suite ? Et bien regarde moi ! Regarde mes yeux.

Et sans m'en apercevoir, je levai la tête et croisa le regard perçant de mon enemie. Il était glacial et j'eu l'impression d'avoir plongé dans un sceau d'eau froide.

Je me dis transporter comme la dernière fois et me vit envelopper dans un tunnel sombre et menacent. Quand enfin mes pieds se reposèrent sur la terre ferme, j'eu un frisson d'horreur en voyant Envy, l'homunculus de l'envie.  Il s'arrêtai par moment pour jeter un regard méprisant au corps jonchant au sol. Havoc, sa tête décapitée, Breda, découpée en morceaux, le lieutenant et le colonel qui me regardait d'un regard vitreux.  Ses cheveux noir collait sur son front humide.
Et là devant moi, Alphonse. Alphonse qui me regardait fixement, la main tendue vers moi. 

- Ed... Ed ... Ed-ward.... Veux tu jouer avec moi ? Ed-ward....  C'est de ta faute... Je suis mort par ta faute.... Si nous sommes mort aujourd'hui, c'est de ta fautes... Je t'en veux, Edward.

- Je t'en veux Fullmetal... J'avais une chance de diriger l'armée et voilà tout mes espoirs réduit à néant à cause de toi... Je t'en veux Fullmetal....

- Je ne te connais pas Fullmetal, mais je vais te tuer à l'aide de mon pistolet. Tout ça est de ta faute... Fullmetal, meurt...

Non... non.... non.... NON ! J'avais si mal au cœur. Si il était mort, c'était de ma faute.... Il était mort et je ne pouvais rien faire...

Non !

Ne meurs pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant