Chapitre 18

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En route pour Bobo Dioulasso la tête sur la portière j'admirais tous le paysage a travers la vitre de la voiture... Bouba concentré sur la route ne parlais pas. Il avait lancé sa playlist et conduisait en silence. Pour la saison la végétation était plutôt dense les bergers gardaient leurs troupeaux les enfants se poursuivaient dans les villages. Tantôt on traversait une grande plaine tant tôt une chaine de colline. Je me sentais à la fois pressée et stressée de présenter mon homme à mon père qui est plutôt un homme aux idées traditionnelles. Le fait qu'il ai déjà accordé ma main a David et qu'en plus je vive déjà avec Bouba n'était pas pour me rassurer . Je fini par m'endormir sans m'en rendre compte. Vers 10h Bouba m'a réveillé nous étions arrivés à Boromo. Comme d'habitude les marchands ambulants nous prennaient d'assaut et nous sommes allés dans un restaurant pour manger et nous reposer avant de reprendre le chemin. J'ai même pu payer du sesame et des oignons pour ramener en grande famille. Puis nous nous sommes remis en chemin. A 12h et demi nous avons fais notre entree en ville. Ma ville natale... ça faisait un bon moment j'y étais pas revenue mais presque rien n' avait changé. Tellement de souvenirs ici et là... Bouba avait réservé une chambre dans un hôtel vu que je ne l'ai pas encore officiellement présenté il serait mal vu qu'il vienne directement avec ses affaires chez mon père. Mais si tout se passe bien il pourra peut-être venir en famille. Nous nous sommes d'abord arrêtés à l'hôtel vu qu'il était plus proche pour qu'il dépose ses affaires. Arrivés au parking nous avons laisser mes affaires dans le coffre j'ai juste pris mon sac à main. Une fois a la réception on lui a remis les clés puis on nous a accompagné à la chambre. Je me suis assise sur le lit puis il est allé prendre une douche. Quand il a fini je le regardais range ses habits dans le placard. Puis il s'est retourné vers moi serviette à la taille

Bouba: Tu sais que tu as été une grande manipulatrice? C'est maintenant je m'en rend compte

Moi: Comment ça ?

Bouba : Tu savais que j'aurais toujours fais passer les affaires avant la présentation de famille n'est ce pas? Et c'est pourquoi tu m'a mis au régime sec

J'en pouvais plus j'ai éclaté de rire

Moi: J'avoue ! Mais je pensais qu'un homme d'affaires de ton rang aurait compris le truc depuis le début

Bouba : Alors tu avoues ?? Bon... Faute avouée moitié pardonnée. Maintenant il te ne te reste qu' une moitié à te faire pardonner. Et tu as été une très très mauvaise fille

Moi: Je sais desolee...Que dois je faire pour que vous me pardonniez monsieur Traoré ?

Bouba: Tu mérite une punition. Déshabille toi et couches toi tu sur le lit

Moi: A vos ordres...

Je me suis levée en jouant le jeux. Il était assis dans un fauteuil en face de moi puis me fixais.
J'ai d'abord retiré ma jupe en la faisant descendre puis mon haut puis lentement j'ai dégrafé mon soutien-gorge puis j'ai fais glisser les bretelles le long de mon bras puis je l'ai laissé tomber. Du bout de mon index j'ai titillé la pointe de mon mamelon gauche qui a durci son l'effet de la caresse et de mes deux mains j'ai commencé à me pétrir les seins en insistant sur les pointes. Je ne sais pas si l'excitation venais de la sensation ou du fais qu'il me regardait me toucher je mouillais seule et l'excitation m'a fais gemir. Il n'en perdait pas une miette... Je me suis retournée je lui faisais dos puis je me suis courbée sensuellement pour enlever le seul morceau de tissu qui me restant sur mon corps. Et je me suis allongée sur le dos. Puis j'ai recommencé en me carresser les sein de la main gauche et j'ai introduit des doigts dans mon vagin je faisais des vas et viens de plus en plus rapides et l'excitation ne faisait qu'augmenter .

Il s'est levé à retirer sa serviette et je l'ai vu prendre une ceinture qu'il venait à peine de ranger dans le placard.

Bouba: Mets toi à quatre pattes

Sur le coup j'appréhendais à cause de la ceinture et il veut commencer par une levrette? Ça risque de faire mal... mais je me suis quand même exécutée .
À quatre pattes les jambes écartées la peur au ventre je le sentais approcher.
Il n'a pas perdu de temps pour des préliminaires ou autres. Il m'a directement pénétré et vu que je mouillais déjà contrairement à ceux à quoi je m'attendais la sensation n'était pas douloureuse. Il a pris mes deux bras dans une de ses mains puis faisait des va et viens violents. Les bruits de son bassin tapant contre mes fesses se faisait entendre et je n'arrivais pas à contenir mes gémissements. De son autre main il a appuyé ma tête de façon que je sois allongée maintenant et les fesses bien en haut. Puis il s'es saisis de la ceinture tout en continuant les vas et viens déjà violents j'ai senti une tape sur mes fesses et ça n'en augmentais que plus mon plaisir. Je ne faisais que gémir pas de douleur mais de plaisir.
J'ai pas tardé à atteindre l'orgasme et lui aussi...
il s'est allongé près de moi
C'est après que j'ai commencé à sentir la douleur des coups de fouets.

Moi: je suis pardonnée?!

Bouba : Et comment !!!

Je me suis mise à rire

Moi: Tant mieux alors mais je risque de ne pas pouvoir m'asseoir pendant un bon moment j'ai le derrière qui est chaud actuellement

On a discuté un peu puis nous avons siesté

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Alerte spoiler le prochain chapitre sera dingue

Don't judge meOù les histoires vivent. Découvrez maintenant