Don't judge me

Chapitre 24

L'entendant insister je fini par me lever pour lui ouvrir. J'ai entrouvert la porte de sorte à laisser sortir juste ma tête

Moi: Tu veux quoi monsieur Aboubacar Traoré

Il ne répondait et me fixait intensément
J'ai ouvert complètement et je me suis dirigée directement vers le lit. Il me retint par la main et me tira vers lui.
Toujours sans rien dire il me fixait. Son regard... ce regard...
Il se pencha et m'embrassa avec une douceur infinie. Sous l'effet de la surprise je n'ai pas pu le repousser. Cela m'avait tellement manqué. Les yeux fermés et Emportée par le baiser je senti que mes pieds ne touchaient plus le sol...
Il me posa délicatement sur le lit et enleva de la poche de son jogging un pot de yaourt qu'il deposa sur la comode. Silencieusement je l'observais me retirer mon haut puis me faire des bisous sur le ventre en descendant puis il retira aussi mon bas.

Bouba: je savais que tu n'en avais pas mis
Avec un sourire
J'avais tellement honte qu'il ai pu deviner une envie que moi même j'ignorais.
Il se coucha sur moi puis recommença à m'embrasser tout en caressant de ses bras musclés chaque centimètres carrés de ma peau.
Il pris le pot de yaourt qu'il perça et fis couler le liquide sur ma poitrine. Le contact du yaourt froid avec ma peau me fis frissonner. Mes petits seins pointaient déjà. A califourchon sur moi il dessinait du bout des doigts des lignes imaginaires qui ne faisaient que m'enflammer encore plus et faire couler le yaourt il fini par tracer une ligne jusqu'à mon nombril. Le yaourt suivait le même chemin et alla se loger dans le creux.
Les yeux maintenant fermés je sentais Bouba descendre et lécher fougueusement le liquide dans mon nombril puis remonter lentement tout en prenant soin de ne laisser aucune goutte du liquide. Toute nue je sentais son poids sur moi. Ce corps qui avait tant manqué au mien était maintenant collé à moi. Arrivé sur ma poitrine il lécha le contour de mes seins en faisant attention à ne pas toucher mes tétons je n'en pouvais plus...
j'ai saisis sa tête et l'ai mise sur l'un de mes seins on dirait qu'il n'attendait que ça. Il le pris en bouche et pris l'autre dans sa main. Pendant qu'il le suçait il titillait l'autre entre son pouce et son index. Il les suçait avec tellement de passion ce qui ne faisait qu'augmenter mon excitation.
J'ai tenté de le caresser puis je me suis rendue compte qu'il portait toujours son jogging. Il repoussa mes mains de chaque côté de ma tête et me dis

Bouba : Non princesse aujourd'hui on ne va s'occuper que de toi.
J'étais déjà essoufflée je n'arrivais pas à parler. Il redescendit et saisit fermement mes jambes et les écarta. Il enflamma l'intérieur de mes cuisses en posant des baisers tantôt fougueux  botantôt doux.
Il se saisit de nouveau du pot de yaourt et en pris dans sa bouche. Cette fois avec ses lèvres glacées il embrassa mes autres lèvres et y fis couler le yaourt qu'il dégustait goulûment. Je ressentais chacun de ses mouvements jusqu'au fond de mon être. D'une main il saisit mon sein puis j'ai senti en moi des doigts. En arrêtant pas de me dévorer il continuait les vas et viens. Je ne pouvais ne contenir mes gémissements ni les mouvements de mon corps comme si je convulsais.
J'avais tellement de choses à lui dire à cet instant. Je voulais le supplier d'arrêter cette délicieuse torture. Tout ce que j'ai pu crier
Moi: Arrête je vais pisser!!!
Cela eu l'effet contraire sur lui qui s'appliquait encore plus au lieu d'arrêter c'était trop pour moi. Je n'ai pas pu me contenir au bout de quelques minutes j'ai joui en lâchant des gémissements assourdissants et l'éclaboussant au passage .
J'ai eu honte de moi même que j'ai recouvert mon visage de mes deux mains.

Bouba en s'essuyant le visage avec mon pagne: Pourquoi tu te caches? C'est pas parce que tu ne me vois pas que je te vois pas.

Moi: Désolée de t'avoir pissé dessus! Je suis tellement désolée

Bouba: Pourquoi m'avoir caché que tu étais fontaine ? C'est très sexy

Moi: parce que je l'ignorais moi même.

Il se leva et en me faisant dos il dit « le dessert fut délicieux... bonne nuit »

Je ne savais sincèrement pas quoi lui répondre à cet instant là. Quel perver! Mais quel beau pervers. Essoufflée par tant de sensations. J'ai mis un peu de temps à reprendre mes esprits. J'ai changé les draps puis je suis allée prendre une bonne douche. Cet homme me rendra sûrement folle. Cette nuit j'ai dormi dans la chambre d'amis et il n'a pas insisté pour que je le rejoigne. Respectant ce que je lui avais demandé or j'aurais bien voulu qu'il revienne passer la nuit avec moi.