Les 11 Interdits [TOME 1 :TERMINE]

Chapitre 22 : entrainement commun

Le lendemain matin, après une longue nuit d'insomnie et un bon petit déjeuner, l'équipe ce mis à l'entraînement.

Le premier jour ce fut course de durée. Eshvar lâcha au bout de quatre heures à peu près. Celso fut le grand gagnant de la journée en durant sept heure consécutive.

Le deuxième jour, on fit un concours de soulever de poids. Les quartes finalistes furent Pride, Death, Conquest et moi. Conquest souleva une moto sans difficulté tandis que Pride fit le beau gosse en soulevant une voiture. Je me dirigea vers un camion militaire, l'attrapa par le devant et poussa de toutes mes forces. Mon corps commençait à chauffer et a créer de la vapeur. Je réussit à le porter pendant deux secondes et le reposa par terre avec le plus grand soin possible... Oui j'ai casser ce camion mais c'est pas grave j'ai battu les autres j'étais content. Death me mît une tape amical dans l'épaule et dit :
- T'appel ça lourd War ? Regarde et apprends !
- Qu'est ce que tu veux trouver de plus lourd que ça idiot ?
Il fit apparaître son armure, Pride le traita de tricheur et il s'approcha d'un tank...
- Death non t'as pas le droit... Me dis pas que tu le fais !
Il le pris à deux bras hésita quelque seconde puis le souleva comme si c'était une balle ! Ce mec restera toujours au dessus de nous physiquement...

Le troisième jour ce fut l'entraînement de vitesse. Comme à l'habitude on dit une compétition. Cette fois ce fut Envie qui nous massacra tous... Il devait au moins faire du quatre-vingt kilomètre heure l'enfoiré ! Comment ses jambes tiennent ? Le pire c'est qu'il en redemande après le connard...

Le quatrième jour ce fut un jour de repos pour tout le monde. Et oui même avec un corps comme les nôtres, il faut savoir se restaurer. J'en profitais pour passer du temps avec ma rose-bief préférée. J'appris a la connaître plus profondément. On passa notre après midi à ne rien faire comme un couple normal... Mais au moins on faisait rien ensemble et ça nous allait. Quand j'étais avec elle je me sentais bien... Je ne pensais plus qu'à nous deux et c'était tellement agréable que j'en oublier les peines du combat. On s'allongea dans l'herbe et elle posa sa tête sur mon torse.
- Chéri ?
- Oui ?
- J'ai peur...
- T'as peur de quoi voyons ?
- Que ce soit un piège... Que tu partes pour l'Australie et que tu ne reviennent plus...
- Y a pas d'autre choix .
- Si y en a un autre...
- Tu penses à quoi Wrath ?
- On pourrai partir... La... Maintenant tous les deux, faire notre vie loin de la guerre et disparaître des radars...
- ...
- Réponds moi je t'en prie...
- Tu veux que je te dise quoi ?
- Je veux que tu me répondes...
- Non tu veux que je te dise oui...
- Et c'est ce que tu vas faire ?
Je la poussa sur le côté et me leva.
- Tu sais bien que non. Ces gens doivent payer pour ces massacres !
- On a pas besoin de ce battre tu sais ! Appart souffrir ça sert à rien !
- Ce battre ne sert à rien mais je me bat quand même... Je me suis battu pour la sauver... J'ai fait de mon mieux.
- Et alors ?! Qu'est ce que tout ça a à voir !
- Tu ne veux même pas te venger ? Même pas te battre en son honneur... Pour qu'elle repose en paix ?
- Je... Je veux juste pas qu'on meurt de la même façon...
- C'est le meilleur moyen pour que ça n'arrive pas. Écoute on va écraser ces boites de conserve en un claquement de doigt et tout redeviendra normal très vite.
- D'accord... Je te crois Axel...
Elle se leva aussi, passa ses bras autour de ma nuque et déposa un baiser sur mes lèvres... Elle était à la limite de pleurer alors je la serra fort dans mes bras pour la rassurer. On ne reparla plus de ce sujet jusqu'à la fin de notre journée en couple.

Durants les jours qui suivaient, les entraînements n'arrêtaient pas de s'enchaîner.  Chaque soir je me coucher seul avec certains os brisés et des muscles déchirés... Heureusement que la régénération nous rendez plus fort à chaque dégât sinon il n'y aurait rien de bénéfique dans ces heures de sports acharnée. Ça y est, on était samedi, j'allais partir en avion pour l'Australie. J'avais rendez-vous tôt le matin avec le président des États-Unies et j'étais censé prendre l'avion avec lui. Évidement il refusa de prendre un avion militaire comme à mon habitude et il préféra prendre un jet privé. Je fût malheureusement obligé de le suivre dans ce monde de luxe... Putain ça fait tellement longtemps que je n'avais pas aussi bien voyager... Ça a des avantages au final d'être le chef. Un hôtesse me proposa du champagne et j'en bu au moins deux bouteilles avec le président pendant le trajet... J'étais presque sûr qu'il était soûl lorsque l'avion se posa à l'aéroport de Sydney mais il me força à dire que non. Une voiture blindé nous attendait à la sortie de l'aéroport.
Le chauffeur ne dit rien en notre présence et suivit l'une des voitures qui faisaient parties de notre escorte. La chaleur locale n'était pas un problème pour moi mais sembler fort affecter mon partenaire de voyage. Au bout d'une heure de trajet on sorti de la ville et on aperçu au loin une immense structure toujours en construction. Elle devait bien faire quelques centaines de mètres de hauteur et un gros kilomètre de diamètre. Ils sont vraiment capable de tous faire grâce à leur nouvelle technologie... Une fois la voiture arrêter devant la grande porte, on fut fouiller et un mec assez petit et maigrichon nous attendait. Il s'adressa à nous.
- Bonjour messieurs, c'est un honneur de vous avoir permis nous. Je suis votre guide pour la journée. Nous feront un trou complet de l'arène et nous finirons par aller à votre rendez vous avec le prince. Merci de me suivre.
Le président le remercia et me fit une petite tape dans l'épaule pour que je fasse de même. Je déteste cette fausse politesse qu'on est obligé d'avoir avec nous ennemis.

On était donc parti pour un tour complet de ce machin... ça aller prendre des heures à pieds... On marchait déjà depuis une dizaine de minutes dans des couloirs qui semblaient être sans fin. Le guide n'arrêtait pas de parler des possibilités de l'arène, de ses capacités. Il nous parlait d'environ un million de spectateur sans compter que les combats seront diffuser sur toutes les chaînes possible. A un moment on s'arrêta devant une vitre qui donnait sur une salle d'entraînement. On pu y voir quelques personnes dont un homme qui semblait gigantesque et musclé... Certainement l'un de nos futur adversaire.

- Vous faites connaissance avec Boeuf à ce que je vois.
Le président et moi nous retournâmes et nous pûmes voir un homme type asiatique, assez grand et élancé. Il portait une chemise bleu avec un pantalon noir ainsi qu'une cravate de la même couleur. Il nous regarder du haut des escaliers et nous souriait.