One-Shot Gladio x Moon Spéciale Halloween

354 17 3
                                    

Le mois d'Octobre touchait à sa fin. La fête d'Halloween se préparant, les villes assortient de noir et orange. Chaque magasin comme maison c'était remplit de décoration " pour faire peur " disait-il. Les faux fantômes et araignés en plastiques étaient de sortis, les costumes et déguisement près pour être porter frappant à chaque porte et répétant inlassablement.

Des bonbons ou un sort.

Une magie opérait à chaque grande fête. Le nouvel an, avec ses magnifique Bonne Année à chaque rue, le climat doux et frais à la fois des mois d'Hiver et les magnifique flocons de neiges tels des perles. Le carnaval et ses sambas comme capueras vivante et entraînante. Le changement de saison du 20 mars et les feuilles d'abres de cerisiers petit à petit se colorant d'un discrait pourtant éclatant rose pâle. 1er avril blâgues énervante comme rigolote. Mai ? Nul besoin de préciser ses nombreux férié. Juin, juillet, août ses festivales de musique, chaleurs grimpantes et suffocantes sans oublier les plages bondés de personnes commes de concombaffes. Septembre, octobre, novembre les feuilles au teintes caramélisés. Et décembre, son Noël enchanter excitant jeunes et âgés chantant les chansons du dernier mois avec ferveur attendant les câdeaux du célèbre Père Noël laissant des cookies et verres de lait, les chaussètes accrocher aux cheminés, anges de neiges, et bien évidemment les batailles de boules de neiges.

Il était sur qu'on ne pouvait s'enuyer à Alola, seleument, une jeune fille avec son simple carré court noir commençait à se lasser de son quotidien. Défis à relever, shouting. Doucement son goût à la vie s'envolait tout doucement et librement lui laissant une saveur fade et sans vie. Le sourrire berçant ses joues, cresant ses faussètes venait au fur et à mesure s'amenuiser. Elle ne savait plus depuis combiens de temps elle n'avait plus sourit, tentant un faux ses lèvres lui firent mal à présent violettes et sèches. Au début elle affichait un faux sourrire berçant d'illusions ses proches les coinvaincant et se convaincant elle-même que tout allait bien, sa niaiserie comédienne dupait tout le monde mais un temps elle en eu marre. Son teint légèrement bronzé se pallissait inquiétant sa mère comme son archéduc. Une seul pensée traversait son esprit.

Mort

Si elle continuait ainsi elle n'avait aucun doute celle-ci viendrait la prendre dans ses bras. Et pourtant la jeune fille ne faisait rien pour y échapper se disant qu'elle serait sans doute confortable. Ces douleurs dans son corps disparaîtrait. Occasionellement elle s'accordait le fait de se soulager au ciseaux aux jambes, les bras et poignets étant trop prévisiblent laissant couler ce liquide rouge au goût mettalique. Depuis elle ne voyait plus personne s'enfermant dans sa chambre des jours entiers.

Un soir de pluie elle s'aventura dehors, trouvant refuge à une aire de jeux se balançant doucement à une balançoire se trampant la pluie soulageait son cœur. C'était comme si le ciel pleurait pour elle à cette pensée un rictus presque impercepletible apparu sur son visage les étirant. Elle ne pouvait pas le supporter, toute cette éffervécence à cause d'une stupide fête qu'elle aussi autrefois adorait. Le silence du lieux mélanger au bruit des gouttes s'écrasant et mourrant contre le sol, un bruit inattendu vint titiller ses oreilles. Des bruits de pas, oui, des bruits de pas. Quand elle releva la tête elle fut surprise de touver un certain blondinet devant elle. Malgrès elle, il ne semblait pas résigner à partir se plantant devant elle tel un piquet, elle baissa la tête ne voulant engager une discussion et observant ses vieilles chaussures de randonnés pleines de boues. Mais il en décida autrement voulant aborder un sujet plus qu'important pour lui.

- Pourquoi es-tu devenu ainsi. Demanda-t-il d'une voix douce l'incitant à parler.

Voulant d'abords répondre elle entrouvrit sa bouche, puis se résigna n'ayant rien à répondre.

1
2
3
Gouttes de pluies

- Parles ne te tais pas, s'énerva-t-il.

Le bruissement des feuilles orangées dans les arbres parlait pour elle, tombant de suite à la grosse rafale de vent. Relevant la tête vets lui elle le vit les sourcils foncés. Ce n'est pas toi qui devrait t'énerver mais moi, pensa-t-elle, comment savais-tu où me trouver.

- Tu sais quoi finalement ne parle pas, brisant encore le silence s'installant, c'est moi qui vais tout dire. Tout le monde est triste, tu t'amaigris à vue d'oeil. Il accompagna sa parole d'un geste de la main, la désigneant. Lilie se meure de ne pas te voir.

Cherchant ses yeux d'un vert pomme si luisant elle le regarda encrant les siens grisâtre dans ceux-ci, claquant sa langue contre son palais et se relevant brusquement s'avançant vers " son ami. "

- Tu m'énerves à venir me faire une leçon alors que tu n'as rien à dire monsieur le dépréssif ! Elle m'énerve à chouiner pour un rien et s'inquiétant pour moi ! Vous m'énervez tous ! Tu parles de mourrir, mais est-ce que tu la déjà approcher, tenter, espérer ! Elle s'approchait le forçant à reculer le poussant petit à petit avec son index rentrant en colision avec son torse. Rentre chez toi, je ne veux voir personne et surtout pas toi !

4
5
6
Coups de tonnerres

Sa voix était rauque et elle avait déjà presque oublier le son de celle-ci, partant parfois allant dans les aigu comme les graves. Étonner du fait que la jeune fille ne levait jamais la voix, ne s'énervait jamais, il resta sans voix puis la prit dans ses bras la serrant comme la poupée fragile qu'elle est. Le repoussant, frappant son torse elle souhaitait s'éloigner de lui n'ayant qu'à faire de sa pitié puis abandonna. Ils étaient trempés leurs habits les prélavant, éclatant en sanglot ses larmes salés se mélangèrent aux perles d'eau tombant du ciel. De ses yeux ambués elle reguarda par dessus  son épaule appercevant les lumière de Ekaeka sintiller comme des joillaux.

- Pourquoi fais-tu tout cela pour moi ?

- Tout simplemnt parce que, je t'aime.

7
8
9
Battements de cœur

Leur voix comme des murmures il s'observèrent leurs joues rougis, ses bras pendant le long de son corps elle répondit enfin à son câlin. Des gouttes d'eau s'écrasant sur le bitume suivant la directive du vent, elle réfléchissait tramblotante. Je t'aime. L'avait-elle bien entendu ? Comment continuer à respirer avec une déclaration comme ça ? Tambourinant dans sa cage toracique, son organe vitale qui lui permet de vivre comme d'aimer, battait à tout rompre. Sellant leur lèvres ensemble, baiser timide et fragile se fit mélangeant tout ensemble. L'Amour, la tristesse, la douleur, les déceptions, la peur. Tant de mauvaises sensations et pourtant ce baiser était vivant et intense. Les lèvres brisés de la maître d'Alola en rencontrait deux autres  les larmes salés se mélangeant à celui-ci le salant.

Et
10
Baiser

Il pleut certe, mais il fait beau.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jan 06, 2019 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Une vie palpitante !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant