Kᴏᴋɪᴄʜɪ X ʀᴇᴀᴅᴇʀ

Chapitre 31 "Course poursuite désespérée"

Et alors que vous reculez, vous commencez déjà à entendre les cris des villageois en colère accourir vers la petite maison seulement faite de bois dans laquelle vous vous trouvez.

Vous courrez vers la mini clôture faite de bois de cèdre et vous passez par dessus.

En examinant bien la pièce, l'ultime policier propose quelque chose:

"- Nous pourrions boucher les fenêtres et la porte avec des étagères ?"

"- Bonne idée, ça a dû te prendre trois siècles pour arriver à cette idée !" Lui réponds-tu sarcastiquement avant de repasser au dessus de la barrière avec Chiaki et lui, pour aller mettre des étagères devant les sorties.

Parcontre... ces conneries d'étagères en bois bleues pèse une tonne à pousser. Tu sens même déjà des coups dans celle-ci venant de ces rémanants du désespoir ou tu ne sais pas quoi, ce qui ne te facilite pas vraiment la tâche.

Finalement, lorsque tu réussis, tu vas aider Chiaki à pousser une autre étagère. Mika lui, est entrain de chercher dans les tas de fruits ou dans les tiroirs pour voir s'il n'y aurait pas quelque chose d'utile et c'était une bonne idée: Il a trouvé quelques munitions et deux bombes.

Tu lui demandes les bombes:

"- S'il-te-plait, j'aime quand ça fait boum."

Du coup, à cause de ton commentaire, il hésite à te donner une bombe mais il le fit quand même. Au moin maintenant, tu as deux armes de plus si jamais tu ne peux plus te servir de ton pistolet.

Bref, les coups dans les étagères redoublent et vous visez tout les trois vers les sorties.

Aussitôt que les foutu étagères cèdent et que les villageois sont dans votre champs de vision, vous n'hésitez plus à tirer. D'ailleurs, vous videz déjà votre premier chargeur.

Donc vous rechargez vos armes et les munitions partent.

Lorsque ça t'ai plusieurs minutes à refaire la même chose que vous êtes sur le bord de manquer de munitions, l'un des murs se font détruire par...

Itona.

(Monocat: What ? C'EST BON ON A COMPRIS QU'IL ÉTAIT PLUS FORT QU'UN PUTAIN DE MUR MAIS LÀ.

Monomi: Uuuuuh... Désolés...

Monotaro: *Change le script* C'est moi où il y en a beaucoup des erreurs de script dans cette histoire ?)

L'un des murs de la pièce se fit détruire par la grosse machine que vous aviez vu plus tôt.

Vos yeux s'équarquillent et vous esquive une attaque de ce robot géant.

Vous voyez aussi que dans son dos il y ai écrit "Exisal".

Donc c'est sans doute un exisal...

Bref, même malgré sa lenteur dû au fait qu'il soit pesant, lourd et géant, il est plutôt rapide pour vous si vous ne prenez pas le temps d'esquiver.

C'est pourquoi tu décides de sortir par le grand trou dans le mur causé par l'exisal, suivit des deux autres.

Vous arrivez dans une ville qui ressemble à celle dans laquelle tu t'avais réveille plus tôt mais ici c'est plus petit.

Vous vous mettez à courir à l'autre bout de la petite ville. Au bout de celle-ci, il y a une immense porte. Mais impossible de l'ouvrir, autant seule que vous trois réunis.

Donc vous décidez d'emprunter un escalier relié à un bâtiment qui mène sur le toit de celui-ci. Tu remarques aussi que la ville s'étend en fait au delà d'où vous êtes mais vous ne pouvez pas y aller car une géante clôture vous en sépare.