Receuil One-Shot ㅡYoonmin

I ㅡ Notre vie parfaite

Au début, tout va parfaitement bien, votre conjoint vous aimes, vous l'aimez follement en retour. Comme on le dit bien souvent, au début d'une relation on filent toujours le parfait amour. Aucun problème n'est détecté, votre conjoint vous jure amour, bonheur et fidélité pour l'éternité. Ce sont là de bien belles promesses n'est-ce pas ?

Seulement, tout ça ne dur qu'un temps car comme tout aujourd'hui, les gens s'attachent puis se délaissent trouvant sûrement mieux ailleurs. Enfin, ils pensent trouvé mieux... Jusqu'à ce qu'il vous rappelle pour s'excusé la queue entre les jambes. Bien trop tard pour avoir perdu toute la confiance que vous aviez en lui. Mais aussi, les gens changent parfois, ressortant des côtés de leur personnalité que jamais vous n'auriez pu imaginé. Quelque fois, vous en venez même à vous demandé si vous connaissez réellement la personne qui partage votre vie de tout les jours. Ce changement brutal vous donne soudainement l'impression de vivre aux côtés d'un inconnu à présent. "Qui est cet homme à mes côtés ? A-t-il toujours était comme ça ? L'amour m'aveuglait vraiment à ce point ?" Je me suis souvent poser ces questions à moi-même.

Si vous vous sentez perdu, triste, en colère, inconsolable et j'en passe... Sachez que beaucoup le sont, dont moi et je vais aujourd'hui, vous racontez mon histoire personnelle.

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Je me rappelerais toujours de cette journée où j'ai rencontré mon mari. Ce jour-là, le ciel était d'un bleu éclatant sans aucun nuage, il faisait très chaud et rien que pour cette raison, je me sentais joyeux. J'étais encore inscrit à ma faculté pour mes études littéraire, tandis que lui avait arrêté l'ecole depuis bien longtemps, préférant rentré dans le monde du travail au plus vite. Ça n'a jamais était quelqu'un de très scolaire et il me charriait souvent sur le fait que j'étais son petit intello. Je savais qu'il ne le disait pas méchamment alors je rigolais avec lui.

À ce moment là, je ne le connaissait pas encore, c'était même la première fois que je le voyais, il était là à la sortie de la faculté, à attendre son petit frère. Sa beauté m'avait immédiatement interpelé, à vrai dire j'étais indéniablement attiré par lui. Au début, il n'avait pas remarqué ma présence non loin de lui, mais mon regard devait être tellement insistant, qu'il avait finit par tourné la tête vers ma direction. Il m'avait juste lancé un petit sourire et j'avais baissé la tête vivement, prit la main dans le sac à l'épier je me sentais gêné. Alors je pris l'initiative de rentré chez moi en faisant demi-tour.

Le lendemain, même scénario, même bonhomme habillé très classe, jean noir, maillot noir et veste en cuir noir, c'était vraiment l'assortiment parfait. Un petit sourire en plus d'un petit mouvement de main pour me saluer. Une nouvelle fois gêné, je pris la fuite comme un lâche au lieu d'aller faire connaissance avec lui. Ce dont je mourrais d'envie.

Le lendemain, il était une fois encore présent. Plus les jours passaient et plus il se rapprochait de quelque pas de moi. Ce petit jeu avait duré au moins une semaine et demi. Une semaine à se sourire mutuellement, se saluer de loin puis partir. Je ne comprenais pas ce qu'attendais ce jeune homme de ma part et ça me perturbait. Ça perturbait mes nuits, dans mes rêves je voyais cet homme me regardait de loin, me sourire puis se jeter dans un trou noir continuellement, chaque jour ça se répété sans cesse, je devenais fou juste pour cette seule raison.

Et puis après cette semaine et demi, je ne sais toujours pas pourquoi mais cet homme avait prit l'initiative pour nous deux, de se rapprocher de moi. Enfin, nous nous étions parler, nous avions passé un long moment à discuter tout les deux, faisant connaissance. Je me rappelle encore à quel point j'étais tout gêné devant lui, ça me faisait bizare de parler avec ce bel inconnu mystérieux.

On avait de suite échangé nos numéros de téléphone et après ce jour il ne m'avait plus lâché. Il m'écrivait tout les jours, on s'appelaient souvent au téléphone et il venait toujours le soir à la sortie de la faculté.