Bonus 2

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La sirène a retenti, signe qu'on faisait soit un exercice de confinement, soit c'était sérieux, un truc avait pété, y avait un cyclone où je ne sais quoi, soit s'était un exercice. Dans les deux cas, on stoppait les cours jusqu'à nouvel ordre. La seconde sirène a retenti ; un individu, un terroriste, en l'occurrence, s'était introduit dans le lycée. La prof, Hanji, elle a été la première a se réfugier sous les tables, en lançant : "Fermez tout, ça va être excitant ! Et pas un bruit !"

Pire qu'une gamine. J'ai fermé la fenêtre à côté de moi et me suis baissé sur la table, ou il y avait déjà mon camarade de TP de chimie, Eren. Il était assis sous la table, contre le mur, en dessous de la fenêtre, les jambes écartées. On était tout au fond, et il n'y avait personne à la paillasse d'à côté. J'ai regardé la pose qu'avait Eren, et je me suis dit, pourquoi pas ? Je me suis approché, et, entre ses jambes, je l'ai embrassé, sans prévenir. Comme les fenêtres et les stores étaient fermés, personne ne pourrait nous voir, excepté Arlelt avec ses lunettes spéciales. Il aime bien regarder dans la nuit.

J'ai glissé ma main sur l'entre-jambe d'Eren. Il m'a chuchoté : "Qu'est-ce que tu fais ?" "Tu es bien trop attirant comme ça" lui ai-je répondu, à voix basse.

Il avait sa blouse de chimie, et j'avais bien vu qu'il mourrait d'envie de l'enlever. J'ai posé mes mains sur ses épaules et lui ai enlevé sa blouse, en embrassant son cou. Il a passé ses bras autour de mon cou et m'a embrassé. J'ai pris le foulard de l'autre Ackerman que je lui avais piqué pendant la récré et lui en ai fait un bâillon. Un seul cri et on serait découverts. Et ce gamin ne sait pas se retenir de gémir.

Je lui ai ouvert son pantalon et j'ai sorti son sexe, déjà dur.

"Tu bandais déjà, pervers..." ai-je chuchoté, avant de faire des va-et-viens avec ma main.

Il mugissait à travers le bâillon, mais c'était si faible que moi seul pouvait l'entendre. Et ça m'allait ainsi.

Il a fini par jouir, dans ma main, que j'ai léchée. J'ai sorti un préservatif de ma poche, car oui, j'en ai toujours sur moi, et je lui ai mis, avant d'en faire pareil pour moi. Ne pas laisser de preuves, sinon ça sent pas bon.

J'ai soulevé son bassin et l'ai pénétré d'un coup sec. Il a mugi un peu plus fort, mais personne n'a eu l'air de le remarquer. J'ai commencé une série de va-et-viens rapides, en le collant au mur, les cuisses écartées. Une fois complètement en lui, je lui ai envoyé des dizaines de coups de rein. Le plaisir se lisait sur son visage. Il envoya la tête en arrière, et je vis qu'il avait joui. Je n'ai pas tardé et ai joui juste après. J'ai mis ma main sur ma bouche pour reprendre mon souffle sans me faire entendre, et Eren s'est enlevé le bâillon, pour m'attirer vers lui et m'embrasser passionnément.

Le temps de se rhabiller, l'alerte s'est terminée, un simple exercice, vu que la sonnerie de fin des cours a retenti. En sortant, nous avons jeté nos préservatifs usés par la fenêtre, et ils ont éclaté, non pas au sol, mais sur Jean, malheureusement pour lui, pile en dessous.

Nos doigts entrelacés se sont lâchés, et nous lui avons fait un doigt d'honneur, tous les deux, quand il nous hurlait dessus, puis nous sommes partis, la main dans la main.

"Eren ?" "Oui ?" "J'espère qu'il y aura une autre alerte comme ça. Renseigne toi auprès de Reiner, notre délégué."

Il a rougi d'un coup, et a fait mine de bouder. J'ai esquissé un sourire et lui ai volé un baiser. Et il m'a souri, en passant ses bras autour de mon cou.

"Tu crois qu'on pourrait finir chez toi ?" a-t-il demandé d'une voix mielleuse, alors qu'on était encore dans le couloir. "Si tu as une excuse à fournir à tes parents." "Je dirai que je dois étudier la SVT avec un ami." "La reproduction masculine ?" ai-je demandé, ironique. "Bingo." a-t-il rétorqué avec un sourire. "Ce serait plutôt un cours particulier de sport." "De sport ?" "Sport de chambre."

Il a rigolé, et nous sommes allés chez moi. Le lendemain, notre prof de chimie et Armin n'étaient pas là. Quand on les a appelés, ils nous ont dit que c'était notre faute, et qu'ils avaient perdu leur sang en nous regardant. C'est pas ma faute s'ils sont suicidaires.

"Suicidaires ? Tu exagères, Livai !"

"Le seul suicidaire ici, c'est toi, Eren. Tu es suicidaire de sortir avec moi, tu n'as pas vu les hordes de fangirls qui me suivent."

"Je m'en moque. Tant que je t'ai, elles peuvent faire ce qu'elles veulent."

Je me suis contenté de sourire... avant de lui sauter dessus et de lui faire l'amour violemment, pour son plus grand plaisir.

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J'ai fait ce bonus il y a pas si longtemps et je voulais vous l'offrir en attendant le FUTUR tome 2 !

#Historia

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