Point de vue du chien

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Cela fait maintenant 2 jours que le maître n'est pas venus et l'état de saloperie ne s'améliore pas. Elle perd du pois à vue d'œil. Elle ne bouge pas mais elle respire avec difficulté. Son œil gauche est tombé et une de ses patte à enfler. J'en ai mal pour elle. Mais elle tien bon, elle se raccroche à la vie. Je me dirige vers le tas de charbon pour lui apporter sa ration. Je mange d'abord ma part puis je lui amène la sienne. Elle les avales avec difficultés. Puis elle s'endort. Je retourne sur le tas de charbon pour la passer la nuit .

C'est arrivé cette nuit là. Comme pour me dire quelque chose, le destin c'est acharné sur moi en une nuit.

Je me réveille en sursaut. Quelques chose me dit d'aller voir saloperie. Je bondi du tas et retombe durement sur ma patte. Une douleur se fais sentir dans cette dernière. Elle doit être foulée. Rien d'inquiétant, j'aurais mal une semaine et tout iras pour le mieux après. Je me rend en boitillant vers la où j'ai laissé la petite chienne hier.  Elle ne me regarde pas, plus, elle ne me parlera plus et ne m'embêtera plus non plus. Puis la porte c'est ouverte. Je voudrais mordre le maître mais je ne le fait pas, je l'aime trop pour ça. Mais je ne lui fait pas sa fête. Pour l'instant, je lui en veut trop. Mais bon, après tout c'est aussi la faute de saloperie, elle a du faire une grosse bêtise.... En faite, en y réfléchissant, c aussi la faute, j'aurais du lui dire d'arrêter quand elle allais trop loins, j'aurais du mieux la remettre a sa place dès le début, et surtout, j'aurais du lui montrer plus d'attention pour qu'elle ne cherche pas a l'attirer toute seule en agissant stupidement. En fin de compte... Je suis responsable de sa mort.

Le maître tien par le collier un autre chien, qu'il jette dans la cave. Comme il l'a fait il n'y a pas longtemps avec saloperie. Mais contraire à elle, lui se rebelle, il fonce vers les escaliers, pour attaquer le maître, mais quelle malade ! Mais heureusement la porte ce referme avent même qu'il est pu faire quoi que se soit . Il grogne et aboie de tout ses force . Moi je me rallonge près de saloperie. Je laîche son petit corps inanimé comme si cela pouvais lui rende la vie. Je me permet même de m'endormir auprès d'elle, comme j'aurais du le faire dès le début de la nuit, j'aurais du me comporter comme ça mère l'aurais fait . Mais je n'ai rien fait de tout cela. Je suis un lâche. Je suis un meurtrier.

L'autre chien se rue vers moi et me saute dessus pour me réveiller . Puis il me dit d'une voie autoritaire :

-Ques que tu fait encore ici toi ! Il faut parti !

-Non !! m'écriais-je, le maître prend soins de nous ! Si on part on sera fichus !

J'ai peur , terriblement peur de dehors et du gros chien qui pourrais m'abattre en un coup de cros bien placer . Je n'ai pas du tout envie de quitter ces lieux qui me sont chère ni de quitter mon maître .

-Tu es fou ! Aboie-il, je connaît un endroit où on est beaucoup mieux qu'ici !

Je ne répond pas , je me met juste en position de soumission.
Puis il me demande beaucoup plus calmement

-Comment tu t'appelle au faite ?

-Dégage, répondis-je timidement

-Euh... mais ... non rien

- Et toi ? Je lui demande encore timidement que tout à l'heure .

- Erm , ben moi c'est sultans mais ça va sûrement changer si tu ne t'enfuis pas avec moi. Seul je ne peut rien. J'ai eu tellement de nom dans ma vie. me dit il avec nostalgie.

-Raconte moi ton histoire!

Après un moment d'hésitation, il me dit,

- D'accord mais après tu me raconte la tienne et on se tire de la !
-...
-Très bien je prend ça pour un oui !
Alors voilà
J'étais un chiot , innocent et bête ...

Flash-back

Pdv de sultans

Il fait froid, le sol est froid et humide. Heureusement que maman est la ! La petite pièce blanche dans laquelle j'ai vu le jour et ou sont étaler mes ancien grands frères et soeurs qui n'ont pas survécu à la sous nutrition n'est pas chauffer et le froid engourdi mes muscle. Mais heureusement maman est la! J'enfouis ma truffe dans son pelage et cherche une de ses mamelles fritter par le temps pour téter. Mais elle se lève brusquement et se met à grogner. J'essaye de me raccrocher à elle . Mais un gros bruit retentit. Elle se recouche j'enfouis encore ma tête dans son poile . Mes frère et sœur font de même. Je les chasse. C'est ma place. Je suis naît plus gros qu'eux donc c'est moi qui doit avoir la meilleur place. Mais étrangement, très peu de lait sort des mamelle de maman. Je les mordilles fortement mais elle ne réagi pas, étrange! Des bruit se rapproche. Maman qui est si protectrice d'habitude et se lève pas. Sa doit être un de ses exercices. Je me lève pour défendre la meute, c'est à dire ma mère et mes frère et sœur encore vivant. Je relève mes babines et grogne férocement comme le fait maman. Mais au lieu d'un grondement sourd et effrayant, s'échappe de me bouche un petit jappements, ridicule. Surpris, je m'assoit sur mon derrière, et réessaye mais pareillement à la dernier fois, un jappement ridicule se fait à peine entendre. Pendent que je réessaye encore et encore je sens une présence au dessus de ma tête. Une chose m'attrape par la peau du coup et me dépose dans une caisse. Avec mes frère et sœur. Ils laissent maman. Elle ne réagit pas, elle ne dit rien. Je lui en veut, je lui en voudrais toujours...

Le chien et l'aveugleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant