Le chien et l'aveugle

Point de vue du chien

Je me réveil,  ou plutôt je me fait réveiller par des pas qui se dirigent vers ma cave. Sultans n'a pas fini de me raconter son histoire. Il s'est refermé sur lui même et ne m'as plus reparler. Ça me fait un vide, c'est étrange. Je commençais à m'habituer à avoir toujours une présence bavarde avec moi. La porte s'ouvre et le maître accompagnée par un autre homme apparaissent. Je jappe de bonheur mais sultans fait tout le contraire, il grogne férocement. Je me jette sur les deux hommes. L'inconnu me passe la main partout sur le corps avec douceur. Sa me fait bizarre, je n'avait jamais ressenti ça , c'est comme...

-Dégage ! Me crie mon maître, dégage ! Tu voie bien que tu embêtes le messieurs! je ne comprends pas ce que j'ai fait ! Il doit être jaloux, mais de quoi ? Un mâle et jaloux souvent quant un autre mâle se pavane devant une femelle ! Mais la , il n'y a pas de femelle ! Je m'écarte tout de même un peu pour éviter les caresses du maître pourtant si douce il y a quelque jour mais si violente par rapport à celles de l'inconnu !

-non non! Ne vous inquiétez pas il ne m'embête pas du tout! L'inconnu marmonne quelques chose que je ne comprend pas mais son pouls accélère, il stress. Mais pour quoi ? Dans  ces moment là, j'ai l'impression de ne rien comprendre au monde et au Homme, j'ai l'impression de faire tache, d'être inutile, je m'éloigne, la queue entre les jambes avec un drôle de sentiments, un sentiment qui pourrais facilement s'apparenter a de la honte.

-Vous le prenez ? Non parce que je vous signale qu'il ne correspond en rien à votre description ! Non mais vous êtes aveugle ou quoi ! Le maiter commence à s'énerver, la tension et le stress ce sente dans l'aire. Je m'y laisse emporter et ce mélange d'émotion et d'athmosfere néfaste  m'oblige à faire des tours dans la cave pour décompresser.

Au bout d'un moment, les deux homme partent ensemble sans dire grand chose. Je crois avoir entendus quelque chose comme : je doit réfléchir et je reviendrais demain ou bientôt
Mais je ne saisi pas la signification de ses mots. Je me retrouve de nouveaux seul avec sultans. Il me sourit, enfin pas physiquement, mais je le lis dans ses yeux. Ça c'est une chose que les humain ne semble pas pouvoir faire, lire dans les yeux.

Je lui demande alors un peu surpris:

- Qu'es qu'il y a ?

- Maintenant, tu connais la douceur des caresses et tu connais aussi mon humain préféré ! Ça ne te donne pas envie de partir ?

-Pourquoi j'aurais envie de partir ?  je lui demande septique,

- Parce que les caresses sont plus douce que les coup, non ? Me dit il en penchant la tête

-je ...je ne sais pas ... dis-je achevant ainsi notre dialogue pour m'enfouir dans mes pensée

Je ne sais plus qui je doit écouter, mon cœur et mon maître me disent de rester mais ma conscience et sultans me dictent la fuite. L'amour que j'éprouve pour le maître et très fort, peut être mème trop et il m'offre le confort et la sécurité, mais, une émotion encore plus puissante m'as traverser lorsque cet inconnu a poser la main sur moi...Je ne sais plus où j'en suis.

Sur mes pensées troublantes, le porte de la cave s'ouvre brusquement. Mon maître se tien devant la porte. Il a l'air contant mais cela ne me rassure et me réjouis pas plus que ça contrairement à d'habitude, j'ai mauvais pressentiment, presque le même que j'ai eu quand saloperie est...bref...

Le maître marche droit vers moi, je couine de stress , il me saisi par la peau du coup et me balance à l'autre bout de la pièce. Je m'écrase lourdement sur ma cheville douloureuse. Il donne un coup de pied à sultans qui manque de lui arracher deux doigts. Le maître crie, balance son poingt qui vient s'écraser lourdement sur le bout du museau de ce chiens bien trop téméraire a mon goût, puis il ramasse le seau, prend du charbon et repart comme il est venus , en assénant un méchant coup de pied à sultans.

Une heure que le maître est partie, une heur que ni jappement,ni couinement, ni aboiement n'ont pas été échanger, finalement, c'est moi qui me diige  vers sultans en clopinant et lui dit

-On part quant ?

Il me dévisage l'air surpris. Puis il lance un joyeux

-demain !

{Élipse de la fin de la journée}

Ma conscience et sultans ont eu raisons de mon cœur et de mon maître , réellement, les caresses sont largement plus douces que les coups et je ne veux pas que sultans subisse le même sort que ma petite saloperie !

Ce dernier a remarqué un petit trou qu'il creuse depuis je ne sais pas combien de temps , peut être depuis sont arrivé,  peut être pas. Je ne le saurais sans doute jamais ! Mais on peut s'y faufiler sans problème ! Enfin théoriquement, parce que avec ma patte je peine largement à me déplacer alors me propulser dans un petit trou dans le mur ! Sultans passe en premier sans problème mais moi, c'est une autre histoire, je patine dans la poussière. Je me faufile enfin dehors en me foulant l'autre patte quand la porte de la cave s'ouvre ! Le maître pousse un cri de rage, il a du apercevoir le trou, ou alors il nous a vu nous entrain de partir... Il dévale l'escalier quatre a quatre  ! Sultans détale comme un lapin mais peine a le suivre en clopinant et le perd bientôt de vue !
Les pas lourds du maître se rapproche, je me retourne et voit une main qui se rapproche à grande vitesse ! Serais-ce la fin pour moi ?