Chapitre 8 : Livrée à elle même

11 1 0
                                    

Margaux vit maintenant dans une usine désaffecté, laquelle n'a pas quitter depuis 3 mois.
Elle se loge plus particulièrement dans le dernier étage.
Le truc insolite dans tous ça, c'est que ...
(suite dans le prochain chapitre) Naaannn, je rigole 😀.
Elle utilise du vin pour repouser les infectés; du RDC au 2ème étage, la bonne odeur du bordeaux se fait sentir.
Un matin, où il pleuvait comme vache qui pisse, où elle allait bien depuis des jours et des jours, une troupe d'infectés rôdait; une bonne vingtaine.
Elle ne se sousia pas du problème et se replongea dans sa lecture.
De la page 57 à la page 128, le silence s'était répandu, mais lorsque Margaux tourna la page 129, un bruit sourd fit irruption; au son, cela devait être une arme à feu.
Margaux se leva, se pencha à la fenêtre et vit quelqu'un; cagoulé et avec des habits longs, il était en train de tuer les infectés.
La maitrise du maniement des armes fit jouir de plaisir Margaux.
Cette jouissance ne dura qu'un moment lorsque l'inconnu tira en sa direction.
Elle s'accroupit et se dirigea vers le mur à sa droite, elle glissa sa tête sous le lit et en resorti une arme.
Elle fit le chemin inverse et se dressa, droit comme un piquet, et tira sur les deux armes du gars, maintenant hors services.
Elle lui ordonna de mettre les mains sur la tête.
Il s'exécuta mais il fit un mouvement qui fit tomber sa cagoule. Il dit
"- Salut...Margaux ?
- Comment tu sais mon nom ?
- Tu me reconnais pas ?
- Nan.
- Vraiment content de te revoir, depuis nos séparations brusques..."
Un tir de pistolet
"- T'es qui, putain ?
-  Tes parents te frappait...
- Qu... Que...
- Et oui, Margaux, c'est bien moi, Bernard."
Sur ces mots, Margaux descendit les escaliers de son immeuble et prit dans ses bras Bernard...

Jeu, Set et Zombie - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant