Ma reine

Le jardin du château

Le roi finit par intervenir.  En demandant une dance à sa fille. La princesse Yselda quitta donc les bras de Théodora pour dancer avec le roi. Dance traditionnel cette fois ci.

Le roi finit la dance en invitant un jeune prétendant à dancer avec la princesse.

Les étoiles qui brillaient dans les yeux de Théodora s'estomperent à mesure que les prétendants défilaient.

En revanche, leurs mains sur la taille de la princesse allumaient une flamme beaucoup moins  agréable pour Théodora. La jalousie.

La princesse ne semblait pas prendre goût à changer de cavalier tous les 3 temps de dance.

Elle dança avec le dernier et ce retira dans sa chambre.

Le roi aillant parlé avec sa fille, ce vie triste d'annoncer qu'aucun pretendant n'ai pris le coeur de sa fille ce soir.

En revanche la princesse invita tous les jeunes à dormir au château.

Théodora laissa donc ses parents rentrer et ce perdit par la même occasion dans le jardin du château.

Les lumières des bougies se consument peut à peut, Théodora ne voit plus grand chose, seules les lumières du chateau la guide vers celui ci.

Alors qu'elle allait enfin sortir du jardin, une conversation retient son attention.

-Majesté, vous attendez depuis 18ans qu'elle trouve un pretendant. Il serait peut être temp de lui en imposer un...
Dit une voix féminine inconnue.

-Je sais Madame, je sais. Hélas elle est la seule fille  qu'il me reste et je refuse de lui imposer un mari. Lorsque sa cadette est parti en Finlande épouser le prince de Finlande. Elle a était inconsolable durant des mois. Et quand les deux soeurs ce sont revues ce n'était plus comme avant..  Lorsque  ma fille Yselda a appris que sa cadette n'était pas avec amour auprès de son prince. Elle m'a fait promettre de ne jamais lui imposer de mari. Je le lui ai donc promis. Dit une voix masculine.

-Mon roi, vous êtes trop bon, votre fille a besoin  d'un mari. C'est la tradition. Vous avez promis à votre peuple une descendance digne de son roi. Dit la femme.

La discution s'arrêta. Sur le bruit de baisers et d'autres actions perverses ce firent entendres. Théodora aperçue la silouhette d'une femme ce fesant prendre sauvagement par un homme. Homme qu'elle reconnue sans hésiter. Comment aurait-elle pu oublier la silouhette de l'homme qui, quelques heures plus tot, c'était interposé entre son ange et elle.