L'air se bloque dans ta poitrine,
Les larmes coulent comme une pluie fine.
Les souvenirs naissent dans ton esprit trop fertile.
Il faut le laisser passer et tout ravager,
Laisser le temps s'arranger et recommencer.
Patienter, que les flammes s'éteignent.
Laisser la panique te piétiner.
Et lorsque l'ouragan est passé,
Tu remets ton sourire et continu à avancer.
Tu souris malgré ton cœur qui palpite. Tu veux crier, mais tu es en public. Le monde tourne autour de toi, tu es pris au piège, un appât. Tu continues à avancer. Tu bûches encore et encore, pour sortir du bois. Est-ce que tout va cesser, est-ce que le monde va s'arrêter? Ça personne ne le sait. Il fait chaud, tu étouffes. Vas-tu finalement suffoquer? Tu perds pied avec la réalité. Tu te retrouves au sol, seul et effrayé. Les larmes sont passées, il ne reste plus qu'à respirer. Tu te relèves et revêts ton sourire, prêt à continuer.
Andrea qu'à tu tant à persister? À tant d'obstiner, tu as fini par t'étouffer.
Toujours tienne,
LH
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Pourtant
PoetryPanique L'air se bloque dans ta poitrine, Les larmes coulent comme une pluie fine. Les souvenirs naissent dans ton esprit trop fertile. Il faut le laisser passer et tout ravager, Laisser le temps s'arranger et recommencer. Patienter, que les flam...