Chapitre n°46

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            • Pdv de Maya :

Elle commence à partir.

- Moi : Co ... Comment c'est possible ?

Elle s'arrête devant la porte.

- Billie : C'est grâce à toi.

Puis elle sort. Grâce à moi ? Mais je l'ai tuée ...

Je me précipite dehors pour en savoir plus mais en arrivant, je la vois au bout de la rue, elle court, je me met à sa poursuite. On arrive dans un parc, elle s'arrête.

- Billie : Après que tu m'est remis le cœur à la bonne place, tu m'as embrasser puis tu m'as garder contre toi en pleurant. Tu es parti et c'est a ce moment que je me suis réveiller. J'ai voulu aller te voir mais Tom m'y a empêché. Je t'ai regarder vivre loin de moi, je voulais tellement continuer ma vie avec toi. Tom ne voulait pas que j'aille te voir. Je t'ai vu essayer de te tuer à plusieurs reprise, à te saouler et accumuler les conquêtes. Je t'ai vu te trouver une nouvelle petite amie, j'aurai tellement aimer être à sa place, mais c'est trop tard. Tu a une famille avec elle. Tu m'as oublier maintenant.

Elle se retourne avec les larmes aux yeux. Moi aussi, j'ai les larmes aux yeux.

- Maya : Je ne t'ai jamais oublier, je ne t'oublierai jamais. Tu as été mon première amour, Billie.

Elle se jette dans mes bras, je la serre contre moi. Ça fait tellement longtemps. Elle niche son visage dans mon cou.

- Billie : Je t'aime tellement.

- Maya : Billie ...

- Billie : Je sais, tu as une copine que tu vas demander en mariage et tu as aussi deux adorables enfants. Dit-elle en se retirant de mon cou. Mais je t'aime et je t'aimerai toujours. Et j'aimerai qu'on reste amie, juste amie, et aussi rattraper le temps perdu.

Elle se détache complétement de moi et sort mon téléphone de ma poche, elle inscrit son numéro dans mes contacts et se met en favoris.

- Billie : Envoie-moi un message quand t'es libre pour qu'on passe une aprem toute les deux.

J'hoche la tête.

- Billie : Allez file rejoindre ta famille.

Elle m'embrasse longuement la joue. Je souris, je lui embrasse aussi la joue et me tourne. Je marche jusqu'au magasin, récupérer les chaussures de Nate, je dis au revoir et à bientôt à Jeremy et Meriya. Je vais dans le snack en face, je trouve ma petite famille au fond en train de manger. Je remarque qu'ils ont commander pour moi.

- Wyll : Alors c'est comment de retrouver tes amies ?

- Moi : Génial. Je ne pensais pas que j'allais les retrouver.

Je commence à manger et parler avec Wyll'. Léna ne m'a pas parler de tout le repas, encore moins sur le trajet du retour. Je ne sais pas ce qu'elle a mais je vais le savoir en rentrant.

Je me gare, elle sort de la voiture et entre directement dans la maison. Je souffle.

- Wyll : Vous vous êtes encore disputée ?

- Moi : Non, mais Maman ne me parle plus depuis que je vous ai rejoins mangé.

- Wyll : Tu as peut-être fait une bêtise sans le savoir.

- Moi : Peut-être.

Je l'aide à sortir de la voiture et à marcher jusqu'à la maison. Sans oublier les chaussures dans le coffre.

Leah arrive en même temps que Will.

- Leah : Ça te dit de venir écouter ma nouvelle musique que j'ai fais ? Dit-elle en s'adressant à Wylloh.

Elle hoche la tête et me la prend en même temps que les chaussures.

- Will : Pourquoi Léna est monter énervé ?

J'hausse les épaules. Je retire ma veste que j'accroche au porte manteau et retire mes chaussures.

- Will : Cette odeur. Il s'approche et me renifle. C'est l'odeur de Billie. Comment c'est possible ?

- Moi : Oui, c'est elle. Je t'expliquerai plus tard.

Il hoche la tête, je monte les escaliers en courant et entre dans ma chambre. Elle allonger dans le lit, dos à la porte.

- Moi : Bébé ?

Elle se lève.

- Léna : Avec qui étais tu ? Ce n'était pas l'odeur des deux personnes dans le magasin. Et ne me ment pas.

Me dit-elle énervé.

- Moi : Billie ...

Elle se lève et s'approche de moi.

- Léna : Putain, je viens de te dire de ne pas mentir.

- Moi : Je ne mens pas, elle est vivante, moi aussi, je ne le savais pas, mais elle est belle et bien vivante. Elle sais pour toi et moi et les enfants et elle l'accepte. Je l'ai juste pris dans mes bras, on est amie maintenant. Il n'y aura rien entre nous juste de l'amitié. Et puis merde, je devais le faire ce soir, ça devait pas ce passer comme ça. Léna, je t'aime toi et personne d'autre, cela fait six ans que nous sommes ensemble, tu me comble de bonheur et d'amour. Tu es la femme de ma vie, ma moitié, tu es le soleil qui éclair mes journées, je ne serai rien sans toi. Je t'aime tellement Léna, à un point inimaginable. Et c'est pourquoi ... Je pose un genou au sol et sort la boite qui est dans ma poche, je l'ouvre ... j'aimerai que tu devienne ma femme. Léna Rivewood. Veux-tu m'épouser ?

Elle me regarde les larmes aux yeux.

- Léna : Maya ...

Je me relève. Elle saute sur mes lèvres, je mouve mes lèvres aux siennes puis elle se détache.

- Léna : Oui.

Je souris les larmes au yeux. Oui. Elle a dit oui. Je lui met la bague à l'annulaire et l'embrasse tendrement.

- Moi : Je t'aime.

- Léna : Je t'aime aussi.

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Désolé petit chapitre. J'espère qu'il vous a plus. Et si vous avez encore soif de lecture, je vous invite à lire : Changer à tout jamais. C'est une nouvelle fiction que j'ai commencer il y a peu de temps. N'hésiter pas à voter, à commenter et à partager.

#TheLostChild63

La légende VERSION OBSOLETEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant