Chapitre 8 : L'amouuuuur

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En fait j'ai la flemme de faire la présentation des filles...
Je vous avais dit de ne jamais m'écouter quand j'écris. La preuve j'étais sensée terminer le rendez vous dans le chapitre 7.
Bref
WTF !
J'étais à 100 vues au chapitre 6, je sors le chapitre 7 et là je vois quoi ? 200 VUES ! C'EST TOUJOURS AUSSI NUL MAIS ON S'EN FOUS PARCE QU'ON EST DES POULPES.
Avec ma pote que j'ai recontacté il y a pas longtemps, on a formé des team.
Oui on est cheloues mais bon.
Je suis dans la team :
Team Otaku
Team Zorobin
Team Yaoi (j'adore les yaoi)
Team Shippeuse

Je sais pas si je vous l'ai déjà dit (sans doute vu que j'ai une mémoire de... poulpe) mais je ship tout et n'importe quoi ! Dont le Zosan et le Zorobin en même temps.
Je vous l'ai sens doute déjà dit mais du coup je me fais doublement insulter dans les débats.
Et mes potes, donc ceux qui par exemple aiment le Nalu (Fairy Tail bande d'incultes) quand je leur dit que j'aime bien le Nali, n'est ce pas Titouan, il me prennent pour une folle. Et du coup ca m'a donné une idée
Oh putain l'auteure a une idée... barrez vous les gars ! Je vous couvre !
Ca sent quoi là ? Sniff sniiiif.. je sais ! Ça sent la grosse connerie !
Je vais intégrer du Greylu dans cette fanfic.
Allez s'il vous pliiiiis. Ca va être drôle.
Bref si je vous l'ai déjà dit, dites le a personne et surtout pas à l'auteure. Sinon elle va essayer de me manger après m'avoir enfermée dans sa cave.
Et là c'est le moment ou vous quitter le chapitre parce que l'auteure est shizophrène.
Bon il commence ce chapitre ? C'est quoi ma devise déjà ? Ah oui.
Place à la Narration !

KYA JE SUIS TROP CONTENTE D'ÉCRIRE CE CHAPITRE !

PLACE À LA NARRATION !

🐉PDV ROBIN🐉

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Je peux sentir son odeur d'ici...
Aaaaaaah quel parfum merveilleux

(ceux qui on reconnu un certain personnage de Tokyo Ghoul dites le)

Ce restaurant est tellement... formidable ! Je l'adore déjà ! Certes il n'est pas raffiné, ni populaire, ni aucun de ce genre de choses d'ailleurs... mais c'est le premier restaurant dans lequel je me retrouve en tête à tête avec Zoro...
Qui pourra nier que je suis la plus heureuse des femmes ? Personne.
Pour l'instant tout ce passe... habituellement, si je ne puis dire.
On se dévore des yeux mutuellement, nos joues prennent des couleurs éclatantes, éclatantes comme nos sourires. Éclantants comme ses cheveux. Éclatants comme ses magnifiques yeux emmeraudes. Éclatant comme lui.
Comme d'habitude personne ne parle. Ça me fait penser à un concours... qui détournera les yeux en premier. Bien sûr ce concours ... est infini, car aucun de nous n'a envie de le perdre.
Tout ce passe bien. Je suis bien. Il est bien, bref je pense que c'es.....
"- Monsieur, madame, vous avez commandé ? Demande le serveur, un plateau volumineux dans une main, un menu dans l'autre.
- Je... euuuuuuuh.... Robin ? Tu veux quoi ?
Oh non. Je ne sais absolument pas ce que je veux...
- J'en sais rien... Quel est votre plat du jour ? Proposais-je non sans douter fortement.
Le serveur semble réfléchir.
- en plat principal, notre Okonomiyaki accompagné d'un Onigiri, et des digestifs composés d'une liqueur de menthe et de quelques Mochis.
Ca m'a l'air plutôt bon..
- Je pense que je vas prendre ça. Et toi, Zoro ?
- Dans ce cas, je prends pareil.
Sans m'en rendre compte j'affiche un petit sourire satisfait qui ne me ressemble pas du tout.
Le serveur, qui nous avait déjà apporté les boissons, reparti avec les yeux rivés sur son calepin.
Pendant la (longue, je précise) attente, Zoro et moi avons beaucoup parlé. Notamment d'un détail que nous avons tous les deux remarqué : Grey et Lucy ont l'air de plutôt bien s'entendre.
À ce stade de la discution, je lui ai demandé de ma parler un peu plus de lui, avec une aisance dont je ne me serai jamais crue capable d'obtenir. Il m'a répondu avec un air renfrogné comme quoi il n'y avait rien à savoir sur lui. C'est quand il m'a retourné la question que je me suis sentie quelque peu gênée. Mais je lui ai tout de même tout avoué. Une fois lancée dans mon élan de confiance, je ne pouvais plus m'arrêter de parler. Je lui ai tout dit. Mon père que je ne connais pas, la mort de ma mère, l'absence d'amis dans mon enfance. Ma solitude. Peu être qu'il s'en fichait, peu être qu'il buvait mes paroles, mes son regard me transperçait.
Une fois que j'ai fini mon récit, il à baissé les yeux, à croisé les bras et à dit d'une voix remplie d'une infime tristesse, presque imperceptible, voilà ce qu'il m'a dit:
" Ils sont morts. Non. Je pense qu'ils sont morts. Je ne les connais pas, mais on m'a dit ... des choses.... portant à confusion. Disons que d'un coté mon oncle tentait de me cacher le plus de choses pouvant être liées à eux, comme si il avait honte. Et de l'autre, leurs connaissances me disaient que c'étaient des personnes formidables et pourvues d'amour. Je n'étais qu'un gosse, je ne comprennais pas vraiment la différence d'avis entre ma famille et mes proches. J'avais déduis avec approximativité qu'ils étaient morts. Mais des fois je me demande si ils n'avaient pas honte de moi, si ils ne m'avaient pas ... simplement délaissé, abandonné. J'étais seul. Vraiment seul. Et j'ai rencontré une amie qui m'a donné le force de continuer à être heureux, et je pense qu'elle était ma première amie...
- Et... qu'es t'il advenu de cette amie ? Avais-je demandé, par pur curiosité et interet.
- Elle est morte. M'avais t'il répondu avec un ton froid. Très jeune.
Je n'avais rien répondu. C'était sans doute ce qu'il y avait de mieux à faire. A la fin il à affiché un ravissant sourire et a dit
- C'est du passé. T'as pas faim ?
J'ai eclaté de rire, et, sans trop savoir pourquoi lui aussi s'y est mis. Fous rire général qui nous fesaient passer pour des impolis, mais je pense qu'on s'en foutait, a ce moment là. On riiait. C'était tout ce qui contait a cet instant. Rire. Vivre. Et manger aussi.

One piece : In real lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant