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CHAPTER FOURTEEN

J'étais derrière lui alors que les gars avançaient. Philippe me dit de rejoindre les invités en bas et qu'il allait me rejoindre. Ce que je fais aussitôt lorsque l'un d'eux me lança un sourire. Un sourire qui voulait dire que rien n'est fini. J'y vais une bonne fois pour toute et m'infiltre avec les invités. C'étaient vraiment ces gens qui se plaignait parce qu'ils n'ont pas le dernier iPhone ou la dernière voiture.

J'ai envie de les voir ne serait que pendant une semaine pauvre, qu'ils sachent ce qu'est la pauvreté et comment on galère pour vivre.

Sérieusement pourquoi avoir crée la monnaie? Pourquoi enrichir rend aveugle les gens? Pourquoi tout simplement la monnaie caractérise la richesse? Pourquoi ce sont les nobles qui doivent vivre aisément sans se préoccuper de ce qui va se passer demain et pas nous les pauvres qui nous nous demandons que va-t-on donner à nos enfants? Pourquoi tout simplement devons nous nous soumettre à des hommes qui sont de base comme nous? Sont-ils sorti d'une grotte remplie d'or ou du ventre de leur mère?

C'est ces questions qui me préoccupaient l'esprit. Je buvais différents verres de vins venant du monde entier. Pas si mauvais que ça à vrai dire! Beaucoup de personne sont venus m'admirer. En même temps ma robe ne passait pas inaperçue. Ils essayaient de parler avec mais mes chéries je ne comprends pas l'anglais. Limite l'espagnol ca va...mais l'anglais non.

Philippe est resté très longtemps en haut. Je me demandais bien ce qu'il complotait avec ces gens là, qui était pour moi mes ennemis. Je remonte en haut et en même temps Philippe arrive. Ce directeur....

Philippe: Bah alors qu'est-ce que tu fais?

Moi: je me suis inquiétée...tu m'as laissé toute seule ici

Philippe: mais ne t'inquiète pas!

Moi: mmh j'aime pas cet endroit là. Je connais personne à part toi!

Philippe: je vais te faire connaître ces gens.

Il recule d'un pas puis me regarde.

Philippe: tourne toi un peu?

Moi: arrête tu vas me faire rougir là.

Philippe: robe rouge, joues rouges...t'as de quoi me faire craquer!

Moi: mais c'est une simple Robe! A Paris, il serait en train de me demander la même que j'ai commandé chez un italien célèbre!

Philippe: et comment s'appelle ce couturier?

Moi: regarde au dos de ma robe!

Et il ne se gêne pas de regarder. Heureusement qu'il y'avait personne parce que sinon...wow je me demanderai bien leur réaction. Il lisait bien Alberto Aspesi puis ne se gênait pas de descendre ces mains jusqu'à mes fesses.

Moi: Philippe, s'il te plaît pas ça.

Philippe: tu me fais exciter là!

On descend nous deux, insistant qu'on avance main dans la main puis nous voilà au centre de la conversation! Wife à droite, wife à gauche, beauty derrière...que des beaux compliments alors que je ne comprenais rien du tout.

A vrai dire, je commençais à prendre plaisir avec lui de cette soirée. Surtout lorsqu'il gagnait tout ces jeux et donc beaucoup d'argent. Limite j'aurais dit qu'il trichait tellement il gagnait à chaque fois des millions et des millions d'euros et pas en CB non. Tout était liquide. Hallucinant! De quoi faire nourrir tout un pays d'Afrique.

Alors que j'étais parti me prendre un autre verre du Domaine Leroy, daté de 2014 qui promettait d'être bon, je me sens soudain retournée brusquement. En levant mes yeux, ma main allait lâcher ce verre de vin.