CHAPTER TWELVE

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Nous nous dirigeons indirectement vers l'un des coffres fort de la banque. Il n'était pas au sous-sol et donc pas là où on voulait, mais il y'avait aussi de l'argent sous des boite scellés par ordre alphabétique.

J,analysais tout les lieux, on passait par différentes portes sécurisantes, d'autres gardes de corps nous accompagnaient aussi. L'entrée se faisait que par empreinte digitale.
Je vous passe les détails du trajet qui seront par la suite revu par notre bande.

Le directeur: pour combien de temps?

Alyah: de quoi?

Le directeur: pour combien de temps voulait vous garder l'argent ici?

Moi: indéterminé mais pour longtemps c'est sûr avec ces bijoux de fortune.

Le directeur: bien...

Il demande à un de ces hommes d'emmener la valise dans l'un des coffres sécurisés, le coffre dont on voulait savoir l'existence. On ne pouvait rien faire du tout à la place de regarder et de mémoriser les chemins qui nous ont amené jusqu'ici.

On retourne dans son bureau et il nous explique les dispositifs mais cette fois en anglais. Et là encore, i don't comprendre quelque chose. J'étais à fond dans mon rôle, je crois que tout le monde l'est mais c'est surtout Alyah qui a fait la grande partie du boulot avec son anglais.

Deux heures qu'on est ici avec notre tasse de thé anglais, nous sommes contraints de retourner chez nous. On se lève pour se casser quand je sens un souffle contre ma peau. La peur putain....je me retourne doucement alors qu'Alyah avait déjà franchit la porte, c'était ce directeur...

Le directeur: que veux-tu ma belle?

La bombe qui est en moi allait exploser puis je me suis soudainement mis à la place de Tokyo. S'énerver n'est pas la solution ici. Je me retourne sensuellement et affiche mon plus beau sourire....avec une bonne idée en tête.

Moi: tu sais que tu me plait toi? En un regard je suis tombée amoureuse!

Le directeur: wow honey...ca te dit, demain? Casino? Je t'envoie l'adresse?

Moi: volontiers!

Il me tend une carte de visite puis m'embrasse. Je répond ici à ce baiser et même plus. Je me suis mise à déboutonner petit à petit sa chemise quand on toque à la porte. On s'arrête à notre élan, puis je sors en lui laissant un bisou volant! C'était Alyah qui me regardait avec mépris. J'arrange mon chemisier et mon blouson puis nous sortons de cette banque accompagnée de nos gars.

Au moment où on allait entrer dans la voiture, Luigi me dit d'enlever le blouson ce que je fais directement. Il l'analysait puis nous ordonne de monter. Il est bizarre ce gars là.

Nous prenons la route pour entrer chez nous. Honoré, un renoi qui était avec nous, conduisait tranquillement. En vrai lui il en a rien à foutre d'etre là! Il fait que son boulot, pour, d'après ce que j'ai entendu, sa nouvelle famille meme si ca lui plait pas.

Luigi analysait de près le blouson noir puis enlève une puce accrocher sur l'épaule. Ah le connard, il allait nous amadouer avec ça!

Moi: tu penses que ton mari est sûr de cette banque? Parce que...

Alyah: mais oui ne t'inquiètes pas, l'argent est en sécurité.

Je prend une bouteille d'eau puis l'enverse sur le blouson et plus précisément sur la puce. Vous allez me prendre pour une folle c'est sur mais ce n'est que de la comédie.

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