Chapitre 5

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C'est Lundi, je me réveille sur la sonnerie de mon réveil et je me suis habillé et pris mon petit déjeuner puis je sors de la maison et je me dirige vers mon lycée.

La même routine je me place dans la table au fond de la classe à coté de la fenêtre et j'observe les gens, soudain Clara entre, dés que je l'ai vue je me suis senti en colère, rien de nouveaux chez-elle excepté le pantalon qu'elle portait, il était tellement serré que tout les garçons de la classe commencent à la regarder comme un chien qui remarque un morceau de viande.

Le fait de la voir comme ça me rendait mal à l'aise, Henri l'un des voyous de la classe s'exprima « Oh mon dieu, regarde un peux ces jambes un vrai chef d'œuvre. » je le regarde avec colère, «Arrête de la regarder comme ça, lui dis-je avec véhémence, elle n'est pas comme ce type de fille qui exhibent leur corps, en acceptant d'être juste des morceaux de viandes, Clara c'est une fille qui est totalement l'inverse de ses filles là, donc arrête tout de suite de la regarder comme ça ! » il commença à rire puis me dit «Je m'en fous si c'est elle est différente ou pas, elle a exhibé ses cuisses avec se pantalon donc moi je suis libre de la regarder. » je reste silencieux et je trouve quoi lui dire car aux fond il avait raison car les gens juge les filles par leur tenues peut importe qui elle est, on la verra comme ceux qui n'ont aucun honneur et aucune estime de soi, je suis rester à ma place à ma place entrain d'observer les chiens en chaleurs qui la regardait de cette manière je me suis retourné vers le gars qui étai assis à coté de moi et qui me paraissait devenue très proche avec Clara depuis qu'elle a décider de ne plus m'adresser la parole (Oui c'est elle qui a décider qu'on ne soit plus amis c'est ma faute j'en suis sur car je suis un imbécile je gâche tout ) « Bruno s'il te plait , lui dis-je, essaye de convaincre Clara d'arrêter de s'habiller comme ça, car tout le monde la regarde comme ci elle n'a pas d'honneur , soit pour elle un véritable ami et conseille la. » . Il soupira et me répond «Mais bon sang Enzo ce ne sont pas tes affaires, oui c'est vrai tout le monde la regarde comme ci elle étai comme ces filles qui n'ont pas d'honneur, mais elle est libre de s'habiller comme elle le souhaite, et en plus la dernière fois la prof de math lui a donné le conseille elle ne l'a pas pris en considération, donc si tu veux tenter ta chance vas-y, moi je passe mon tour. » je ne sais pas comment décrire la sensation qui me rongeait, le fait de voir comment tout ceux qui prétendent être ses amis n'ont pas fait le moindre geste pour préserver son honneur et sa réputation, j'avais juste envie de les égorger un par un en commençant par Henry et Bruno.

Mais je suis resté là à rien faire seulement entrain d'empêcher mes yeux de ce poser sur ses jambes, mais j'avais l'impression d'entendre une voix qui me disait « Regarde ses jambes, je sais que tu en a envie. » je baisse ma tête et j'essaye de ne pas regarder mais j'ai fini par céder à la tentation, je me suis tellement voulue mais même après avoir observé un petit moment ses jambes j'ai recommencer à résister, « Ce n'est pas grave Enzo, me dit la voix, ça ne fait rien de regarder un peux. » mais je garde ma tête baissé en essayant de ne pas faire attention à la voix dans ma tête.

Je sors du lycée et à la sortie je croise Kyle un de mes amis qui était entrain de fumer une cigarette je me suis dirigé vers lui pour le conseiller d'arrêter ces bêtises et d'arrêter de fumer mais bon je lui ais volé une clope et j'ai fumé ma première cigarette j'ai senti comme si mon cerveau c'est arrêté de réfléchir , mais juste après avoir fini de fumer je recommence à trop penser et la douleur dans ma tête étai infernal, la cigarette étai encore allumé alors je l'ai étain sur mon corps, cette douleur m'a fait gagner un peux de temps de repos.

Je suis rentré à la maison et il n'y avait personne, je me suis directement dirigé en direction de la salle de bain je me suis lavé le visage, et soudain je recommence à penser Clara et comment je n'ai pas pue résister à observer ses jambes, soudain la voix recommence à me parlé «Quelle abruti, me dit-elle, tu ne cesseras jamais de penser à elle ?! Juste pour avoir regardé sa taille tu te sens coupable comme si tu avais commis un crime, tu fais pitié. », Je commence à repenser à elle en pleurant et je commence à rependre à cette voix qui commençait à m'énerver de plus en plus « Oui j'ai fais un crime, lui répondis-je avec colère, une fille comme elle, gentille belle, innocente, c'est la seul personne qui conte pour moi, elle est mon amie même si je ne le suis pas pour elle, je veux que son bonheur et qu'elle soit bien vue dans ce monde, en la regardant de la même façon que ces chiens en chaleurs j'ai trahi cette amitié. » La voix me dit « De quelle amitié es-ce que tu parle ? Elle t'a laissé tomber, tu ne vaux rien pour elle accepte le fait que tu n'a jamais étais son ami et tu ne le seras jamais ! Elle te déteste.... Tu lui fais pitié, elle a juste pitié de toi.... C'est ça ce que tu veux ? Tu souffriras temps que tu n'accepteras pas le fait que elle ne t'a jamais et elle ne vat jamais te considérer comme son ami ! Tu es tout seul dans ce monde ! Il n'y a personne à tes cotés ! Comprend-le. » Lui il continue à parler et j'essaye d'arrêter de l'entendre et arrêter de penser à Clara mais je n'ai pas pue, tout ce dont à quoi je pensais c'était elle, et la voix continue à hurler dans ma tête « Non mais je n'y crois pas ! Tu dois la supprimer de ta vie ! C'est ta souffrance..... C'est la cause de ta dépression ! ».

Je n'aipas pue supporter encore plus ces bruits et ces pansés je me suis bouché lesoreilles mais sans effet, alors j'ais commençais à me frappé la tête sur le muren hurlant et avec les larmes aux yeux jusqu'à ce que je tombe par terre, je mesuis relevais et j'ai trouvais le murtaché de sang, mon sang, donc je l'ai rapidement nettoyé avant que mes parentsle voient.    

Dans la tête d'un dépressifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant