Chapitre2

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Me voila à la porte de mon lycée, j'entre avec ce faux sourire en faisans comme si j'étais très heureux, je me dirige vers ma classe je me place dans la dernière table aux fond à coté de la fenêtre, un de mes amis viens me parle « Salut Enzo » me dit-il, je me retourne vers lui « Salut Sébastien, lui dis-je, comment ça va ? ». Il me regarde et dit « Moi je vais bien mais toi..... Pas la peine de le dire tu as l'air dépressif comme toujours, ouvre un peux les yeux Enzo tu n'es pas obligé de rester comme ça crois moi. », Il continua à parler alors que moi j'entendais plus rien j'observai juste la vue qui m'était procuré, j'étai entrain d'admirer le sourire et l'innocence des gens enfin le visage innocent mais le cœur lui est plus que diabolique. Le prof de français entre et nous demande de sortir nos cahiers et nos livres puis il m'appela avec un air déçu « Enzo je suis très déçu de ton travaille dans l'examen, me dit-il, un 10 pour quelqu'un qui est habitué à avoir des 16 et des 17 c'est une catastrophe (j'avais oublié de mentionner que je suis parmi les meilleurs de la classe en français) j'espère que tu te rattraperas le deuxième trimestre. »,je le regarde avec ce faux regard d'espoir pour ne pas le décevoir encore plus, je retourne à ma place et je commence à regarder à gauche et droite silencieux calme, soudainement le prof fait monter Clara (laissez moi préciser que Clara étai ma meilleure amie mais elle me haie maintenant) elle monta pour répondre et je baisse les yeux, Sébastien me remarqua et me dit «Bon sang Enzo oublis-la, plus tu pense à elle plus tu souffrira » , je fait un petit rire et le regard «Mais moi aussi je la hais, lui dis-je , je ne pense plus à elle c'est de mon passé maintenant . »(Quelle menteur, tous ce que je lui avais dis c'étai des mensonges, la vérité c'est qu'elle habite mon cerveau, tout les jours je faisais que penser à elle, je ne la haie pas aux contraire elle est précieuse pour moi comme elle a toujours était depuis qu'on s'ais rencontrer) elle retourne s'assoir à sa place elle croisa mon regard mais retourna directement les yeux, je la regardais d'une manière à ce que les gens pensent que je n'ai pas des sentiments pour elle, comme si je regardais le tableau accroché aux mur de ma chambre, sans sentiment sans rien seulement un regard, enfin c'est ce que j'ai fais croire aux autres, alors que la vérité c'étai que j'étais comme ensorcelé quand je la voyais , son visage innocent son regard angélique et ce qui me plaisait le plus chez-elle c'était qu'elle était différente des autres filles , elle s'habillait avec des vêtements qui ne dévoilaient pas son corps , pas de pantalons sérés pas de décolleté , elle portait une veste avec je crois un pull en dessous et un jean et des basket, une beauté sans nudité.

La cloche sonne et voilà le temps de la récréation, la moitié de la classe sorte et l'autre moitié reste en classe, mais moi je reste juste devant la porte de notre classe en mettant mes écouteurs et je recommence à penser, à quoi ? Et bien à tout, tout et n'importe quoi, en écoutant de la musique calme et triste pour m'aider à me concentrer.

Dans la tête d'un dépressifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant