Chapitre 4

22 1 0
                                    

Je reste assis devant mon ordinateur pour écrire le scénario le plus drôle qui soit jamais écrit, ce n'est pas très difficile à faire tout ce que j'ai à faire c'est transformer mes douleurs en blagues, soudain mon téléphone commence à vibrer , je vois que c'est Andrew qui m'a envoyé un message et veux qu'on ce vois devants la vieille maison abandonnée, je sort puis je l'ai rejoignais là bas, c'étai comme être dans un rêve car ce lieux tout le monde le croit hanté, enfin c'est nous qui sont la cause de cette rumeur, car pour le garder pour nous seul on devais chasser les invités non désiré comme par exemple les dealeurs de drogue.

Alors moi je dessine le plan des pièges pour tromper les visiteurs, mais c'est Andrew le génie d'entre nous deux alors c'est lui qui a eu l'idée de ces pièges et c'est lui qui les a conçus et mis en point.

En resta tous les deux assis sur le plafond de la maison et en discuta de tout en particulier, soudainement une voiture s'arrête brusquement devants le jardin, un group de trois garçons sont sortie en trainant avec eux une fille qui n'arrêtait pas de résister, ils l'attachent à l'arbre puis lui enlèvent le sac qui cachait son visage.

« On doit l'aidé cette pauvre fille ! Me dis Andrew, ces trois gars là ils vont voir ce que une maison hanté peut faire ! »

On entre dans la maison à partir de la cheminé et on commença à s'amuser je me mets dans un petit coin j'ai lancé une chaise sur la fenêtre, les trois garçons se sont retourné brusquement, l'un d'eux étai terrifié, «il y'a quelqu'un ? cria un d'eux, montrez-vous. » « Tu crois vraiment que quelqu'un peut avoir le courage d'entrer dans cette maison ?! demanda celui qui étai terrifié, cette maison est juste habité par les esprits maléfique on ferait mieux de quitter cette endroits. » Le gars qui paraissait être le chef s'exprime «Tu crois vraiment à ses bêtises ? Cette maison n'est pas hantée. » aux moment où il a finit sa phrase je lui ait lancé une pierre sur le visage et soudainement ils commencèrent à fuir en laissant la pauvre fille seul accroché à cette arbre je suis sortit de la maison puis j'ai libérer la jeune fille de ses cordes puis je lui ai donné ma veste et elle est partit chez elle, c'étai pas une question de vouloir être des héros mais c'est juste que les vermines comme ces trois gars doivent payer un peux pour leurs actions. 

Dans la tête d'un dépressifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant