Chapitre II

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Aujourd'hui, je pars, je prend l'avion dans 4 heures. Essayer de retrouver mon père. Savoir si il est encore en vie.

Je met Ben au lit, et vais voir Josh affalé sur le canapé.

- Bon je vais aller bosser à plus, j't'aime chacha. je lui fis un bisou sur le front

- Quoi bosser ? Ouais moi aussi soeurette.

- Ils ont du travail pour moi, bye.

Je passa dans ma chambre prendre mon sac et fila avec ma voiture.

J'avais exactement 45 minutes pour aller faire une livraison, et ensuite aller à l'aéroport.

Je me parqua à côté du QG, sortit en vitesse de la voiture.

- Eh Black, coucou. hurla Carla

- Bah tu vois qu'elle est pas morte. ironisa Kaleb en s'adressant à Mike, mon ex.

Je n'ai pas ouvert la bouche j'ai juste embrassé la joue de Carla, j'ai prit la mallette et je suis partie. Avant de claquer la porte :

- Black, attend faut que je te parle. dit-il d'un ton ferme

- Mike, j'ai pas le temps.

- T'as quoi à faire ?

- Rien qui te regarde, dégage. le poussant de côté pour qu'il bouge de ma route

Mike m'a trompé plus d'une fois et jamais avec la même, de un on ne me ment pas et de deux on ne me trompe pas. Je l'ai appris par Carla, il y a 7 mois en arrière, le soir-même j'avais rendez-vous chez lui, avec tant de plaisir de le torturer à mort, que l'on m'a arrêté à une seconde de cette dernière, Josh m'en avait empêché. Il est resté deux semaines dans le coma.

Depuis j'évite tout sentiments envers un homme, qui est autre que la famille. On jouait déjà ensemble à l'école primaire et par la suite c'était comme on dit "mon amoureux", il a voulu s'amusé, qu'il le fasse mais sans moi. Il a essayé de me recontacter pendant des jours et des jours, jusqu'à que je sois forcé de l'écouter. Cette fois-là il m'a dit qu'il avait été obligé. Obligé de me tromper ? Je lui ai rit au nez , et il est repartit à l'hôpital avec le bras gauche et deux côtes cassés.

Je monta dans la voiture fila à toute vitesse vers le point de rendez-vous. Arriver j'éteignis les phares et attendu. Je chargea mon arme et l'enfila à l'arrière de mon pantalon, replaça mon pull.

10 minutes que j'attends ces guignoles.

Je sortit de la voiture, m'appuya contre la portière. Et pris une cigarette. Vous pouvez me faire une grande théorie, sur le fait du danger de ces petites choses entouré d'un papier blanc avec comme décor une bande jaune au bout, mais je n'en ai rien à faire. On mourra tous un jour, alors que je crève d'un cancer ou d'une balle, cela ne changera rien pour moi.

Quand une voiture fit enfin son apparition elle se gara en face de moi, dans la ruelle. L'homme descendit accompagné de deux autres, tous trois habillés de costar hors de prix.

- Oh Black, je ne pensais pas que ce serait toi. dit le client

- Cela poserait-il un problème Fairfield ? rigolais-je

- Jamais, tu es la plus intéressante de ton gang.

- Arrête de discuter, donne moi l'argent.

- Montre la marchandise. m'ordonna-t-il

- C'est pas comme ça avec moi, l'argent ou je pars. souriais-je méprisante

Ces deux hommes me pointèrent de leurs flingues, Fairfield leur fit un signe de main pour qu'ils baissent leurs armes, et donna l'ordre au plus grand d'aller chercher l'argent dans la caisse.

Ce dernier me tendit le sac, je le pris. Le déposa sur le siège arrière en y vérifiant le contenu, et pris la mallette. Je l'ouvris et le lui la montra, il hocha de la tête.


- Toujours un plaisir de faire affaire avec toi. dit Fairfield

Je la lui posa dans les mains, monta en voiture et fis vibrer le moteur. Je pars posé l'argent au QG.

Il me restait 15 minutes à tout cassé pour aller prendre cet avion.

Je rentre dépose le sac sur la table basse entouré de canapé.

- Je pars quelques temps, vous m'appellez si jamais. Et je sortis comme je suis venue, en coup de vent.

J'appuya sur la pédale des gaz, et fonça à tout allure sur les routes.

Arriver à destination, je fermais la voiture à clés, et m'avançais dans l'entrée. Je suivis les panneaux indiquant le check-in  pour me diriger ensuite vers le port d'embarquement 3  définit par mon billet. Je mis mon gros sac à la place choisit pour qu'il arrive dans la soute de l'avion.  Je dépose mon petit sac à dos dans une caisse grise que je pris sur la pile à côté du tapis roulant qui mène à la porte de la frontière, j'enlevais ma ceinture et retira ma veste que je mis aussi dans une seconde caisse. Dans la troisième, je déposais mon téléphone et mon ordinateur portable que je sortis de sa pochette, et mon billet de vol suivis de ma carte d'identité.

- C'est tout bon Madame, vous pouvez passer. me dit une femme derrière le tapis roulant, elle était petite, vêtue d'un tailleur bleu marine avec un badge sur la poitrine gauche, me faisant un signe pour passer le cadre de détection.

J'y posa le premier pas

Until every last star in the galaxy dies.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant