Catherine de Médicis : La vie d'une Reine.

VII : Encore un fils

Château de Fontainebleau,
France.

J'ai toujours rêver d'avoir de nombreux enfants, j'ai déjà donné naissance a huit enfants dont quatre fils et trois filles, ils me combles de bonheur, Mary est toujours sous ma protection, Diane a remis les pieds a la cour sous ordre d'Henri, je le laisse faire et ne dit rien, j'ai mes enfants maintenant donc peu importe qu'il m'aime ou non.

En ce glaçant Mars de l'an 1555, je donne à nouveau naissance à un fils, j'ai tant de joie, je demande à l'un de mes gardes d'aller chercher le Roi. Henri arrive en toute hâte, il me voit pleuré avec notre nouveau née entre les bras, comment voudrais je le nommer me dit-il, je lui repond Hercule, car il sera grand et fort, mais c'est un nom peut donner en notre siècle, mais malgré que je nomme mon fils Hercule, Henri voulais qu'il ce nomme François comme notre fils aîné et le feu le frère de mon époux.

Lors de son baptême, il reçut comme parrains : Le Cardinal Louis de Lorraine, le connétable Anne de Montmorency et comme marraine la duchesse de Ferrare Anne d'Este. Moi ainsi que mes gens tentons de cacher au monde le nanisme de mon fils cadet, car notre petit Hercule est nain, nous espérons de tout coeur qu'en grandissant il ne le reste pas, ce serait un handicap sûr et beaucoup de personne ce moquerait de lui, ce que je ne supporterais pas, on ne s'en prend pas à mes chers enfants impunément ! Je suis en sécurité maintenant, j'ai donnée une descendance au Roi et à la France, je n'ai plus à le rejoindre la nuit, ni à me justifier pourquoi je ne veut plus être proche de lui, il voulait une descendance je lui ai offert maintenant je m'occupe de moi, et de mes enfants, en tentant de m'immiscer dans la politique de mon époux.

-Catherine ! Ma chère ! Comment vous portez-vous aujourd'hui?
-Fort bien Henri, notre fils est en bonne santé et c'est tout ce qui compte pour moi.
-Pourrais-je avoir un infime espoir de vous voire cette nuit ?
-N'ayez aucun espoir car jamais plus je ne vous rejoindrais ! Rejoignez les jupons de vos maîtresse, et restez loin de moi est-ce bien clair ?
-Oui, c'est clair comme le soleil levant ! Quant à vous rester loin de ma politique !

Je rêve ! Cet homme me répugne, mais je ne puis divorcer mes enfants deviendrais illégitime et il épouserais sa catin, Diane de Poitiers qui ne le quitte jamais et me jalouse, car je suis et j'ai de quelle na pas.

A SUIVRE !