Chapitre 4 : Je ne suis pas folle

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<< Une fois que j'eu traversé le miroir je me suis retrouvé dans une forêt faite tout de vert. Un vert tendre tranchant avec des arbres aux longues épines impérial. La lumière était filtrée aux travers des feuilles donnant une lumière très douce et agréable. Une odeur de fleurs régnait autour de moi. Finalement ce monde devait être mon hostile qu'on ne le pensait.

C'est alors que j'ai commencé mon périple au travers de la forêt, plus j'avançais dans celle-ci plus un bruit assourdissant me montais a la tête. Puis tout d'un coup une grande lumière m'a éblouie. Des gens m'ont bousculé ne prêtant pas attention à mon existence sur leur chemin. Tout était gris et terne, une puanteur horrible me saisit aux poumons et me fit tousser plusieurs fois. De grandes tours de métal ce trouvait tout autour de moi, des « immeubles ». Les gens vivent dans ces boîtes géantes. Des carcasses de métal roulaient sur un chemin noir, la fumée qu'elles dégageaient était toxique. Aucune preuve de compassion dans leurs regard, tout était froid, chacun seulement préoccuper de leurs petit bonheur personnel. Je venais d'arriver et ce monde me dégoutait déjà.

Je commençai à déambuler dans les rues moroses de cette ville. Les gens autour de moi portait toute sortes de accoutrements et pourtant ils me semblaient tous identique. Lorsque j'eu le malheur de demander a un homme vêtu de noir ou j'étais il me lança un regard noir et disparu dans cette mer de gens. Au bout de cette rue je tombai sur ce qui me semblait être un temple. Je franchis l'enceinte du lieu sacré, l'entrée était symbolisé par un portail gigantesque en bois. Je m'approchai d'une femme vêtue de blanc et de rouge. Je la salua et lui demanda ma position. Elle avait de longs cheveux noirs ébène et des yeux en amandes aussi sombres que les ténèbres. Elle me regarda avec bienveillance et me dis que je me trouvais dans un temple shintoïste au centre de Kyoto au Japon.

Sa voix était douce, elle ne parlait pas fort. Après m'avoir détaillé de ses yeux noirs elle me demanda ma provenance. Je me contentai de lui dire que je venais d'une autre contrée inconnu aux humains de ce monde, ou alors seulement connue de quelques illuminés. Elle me sourit. Je ne pouvais absolument rien lire sur son visage. Je n'avais aucune idée de ce que pouvait penser la jeune femme.

Un courant d'air froid me fit frissonner. Elle le remarqua immédiatement et me proposa d'entrer pour faire la rencontre des autres Miko comme elles. Les Miko sont de jeunes femmes aux services d'un sanctuaire shintoïste. Je fus alors mener dans une salle assez mignonne, la porte était coulissante, le sol était fait de je ne sais quelle matière tissée. Je m'assis à genoux en face de mon hôte. Elle me parla du pays ou je me trouvais. Il possédait des siècles d'histoire, de guerres et de trahison. La jeune femme dénommé Hana ( son nom signifie fleur ) me raconta aussi les histoires d'amour les plus pures qu'il soit, mais aussi et le plus souvent les plus tristes. Des histoires d'amour plein de créature mythique comme la femme serpent. Mais même dans leurs amours les hommes blessent les leurs. Les trahisons, le suicide, le meurtre et les ténèbres font partis de leurs natures. Les hommes étaient vraiment des êtres étranges. Ils étaient capables des pires horreurs et d'éprouver un amour aussi pure que du cristal. Je crois que je ne comprendrais jamais.

Et pourtant les créatures fabuleuses qui venaient m'accueillir semblaient différentes. Avec leurs peaux pure et blanche comme du lait, leurs traits fins, leurs cheveux bien tirés elle semblaient être des êtres de douceur et d'amour. Alors que dans le passé elles étaient les gardiennes de ce temple, prête a prendre les armes pour prendre la défense de leurs temples. Leurs intentions étaient divines. Elles dégageaient quelques choses de lumineux.

Je quittai alors mes hôtes pour me balader dans les alentours. J'étais venu dans ce monde pour observer les humains. Je voulais en apprendre plus sur leurs façons de vivre et de diriger un monde immense comme le leurs. Mais une fois passer de l'autre cotés rien ne me semblait sortir du lot.

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