3 chaises.Ismaïl s'était assit sur l'une d'entre-elle.
Il observait innocemment l'étendu d'eau.
Seul.
Il n'était pas tourmenté.
Il était juste, pensif.
Le regard vide.
Le regard dans le vide.
Ses yeux se déplacèrent.
Un saule pleureur.
Des chaises.
Un lac.
On aurait dit le début d'un mauvais film de romance.
Mais malgré ça Ismaïl ressentait enfin quelque chose.
Il se sentait bien.
Ce n'était pas grand chose mais c'était suffisant pour qu'il se promette de revenir.
Perdu.
Il reviendrait.