Tueurs à gages

14. Course poursuite

- Détache le

- A vos ordre

L'homme sur la chaise devant nous était couvert de bleus. Du sang dégoulinait de ses nombreuses blessures. Je m'approche de lui.

- Ando

L'homme relève la tête.

- Oui, c'est bien moi

- Tu sais quand sont partis les Drear

- Bien sur ils sont partis il y à peine 30 minutes, avec un certain Gadjeel, je crois.

- Gadjeel, mais il n'as pas de tatouage appartenant au gang.

- Il n'a pas que les tatouages, ou autres. Ils y a aussi les contrats papier. Je ne sais pas ce que vous imaginez mais mes cousins sont les plus forts.

- Ou sont-ils aller ?

- Ils ont plus de dix maisons à leur actif, alors je ne peux pas vous aider.

- Bon, emmener le

Erza, l'aida a se lever et l'emmèna en dehors de la pièce. Tandis que j'avançais dans la propriété. Il n'y avais rien, tous les meubles étaient à leur place. Mais un objet attira mon attention. Une petite dague, avec un crâne dessus. Et ce qu'il y avait de plus interessant c'est qu'il y a une rose. Et sur toute les scènes il y une rose, comme sur tout les tableaux.

Le truc bizarre c'était que cette dague. Elle n'as jamais été déplacée, et encore moi utiliser. Ce qui voulais dire, une porte secrète. Je soulevais délicatement la dague. Bingo.

- La cave des secrets, c'est pas possible

PDV de Lucy:

Je me réveillais quand erza entra en trombe dans le bureau.

- Lucy, Lucy !!

Je me frottais les yeux.

- Viens à l'hôpital, tout de suite

C'était plutôt inattendu, mais je fonçais vers la sortie. J'avais un mauvais pressentiment. J'enfourchais ma moto, et fonçais vers l'hôpital. Je rentrais en trombe dans la chambre.

- Gray!!

Je m'approchais de lit, et pris sa main dans la mienne.

- Gray répond moi

Un coup de file me sourtot de mon désespoir.

- Lucy, on a rater les Drear ?

- Ils sont peut-être dans leur deuxième maisons

- L'adresse Lucy!

- 45, rue dès Rentas

- T'en ai sur

- Écoutes j'en sais rien

- Je te laisse on toque

Je déposais mon téléphone et allais à la porte. Je l'ouvrais, un homme apparaît devant moi, je ne le connaît pas.

- Vous voulez quoi ?

- Je ne veux rien, tandis qu'il parlait, il sortit un pistolet.

- Je suis désolé, gamine, il sortit de nulle part

- Putain