Undertales AUs x reader Os [Ouvert]

Epic Sans x reader : maudite boisson

Petit précision: (c/p)= couleur préférée
Et il y a un lemon dans cet os. Vous n'êtes absolument pas obligé de le lire.
Je mettrais donc,pour ceux que cela dérange, ce signal au début et à la fin du lemon : ♡♡
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Quel froid !
Pestais-je mentalement glaçée par ce vent matinal de janvier.
Je marchais rapidement, en retard vers mon travail, emmitoufflée dans mon grand manteau (c/p).
Je passais alors devant une scène qui fit bouillir mes joues.
Cet homme venait de bousculer une mère monstre et sa pousette avec un mépris me donnant la nausée.
Beaucoup d'humains ont encore du mal à se faire à leur présence, pourtant cela fait presque un an qu'on a decouvert leur existence à leur sortie de l'underground.
Depuis ils travaillent et vivent avec nous.
J'en ai d'aileur un pour collègue.
Squelette vêtu de voilet à l'esprit déplacer et dont un "bruh" ponctue systématiquement les phrases, il m'aide dans un laboratoire de recherche sur l'utilisation sécurisé de la magie dans notre quotidient.
Alors que je travaille sur un projet de batterie magique, lui travaille sur les utilisation chimique de la magie : carburant, solution médical,...
Je rentre alors, les dents serraient et de mauvaises humeurs, dans le laboratoire enfilant ma blouse en un mouvement souple.

- "Houla levé du mauvais pied sweetheart bruh ?
"Sweethaert" joli surnom qui me fait rougir à chaque fois qu'il le prononce.
Malgré qu'il soit un peu trop personnel entre collègue de travail.
- Epic ne m'appelle pas comme ça je te l'ai déjà dit.
Il rit alors que je m'approche de mon plan de travail situé en face du sien.
- Très bien sweetheart.
Il me fait un clin d'oeil.
- Mais plus sérieusement pourquoi cette mine de déterrée ?
Je souris puis pousse un petit soupir.
- J'ai encore vu quelqu'un s'en prendre à des monstres aujourd'hui... j'aurais du réagir.
Il esquisse un doux sourire.
- Ça prendra du temps avant que les humains ne se fassent à notre présence.
Tu ne peux pas être l'héroïne de tout le monde tu sais bruh.
Je souris d'une manière gênée mais néanmoins un peu triste tout en baissant la tête.
- Je ne suis l'héroïne de personne.
J'entendis un poing taper sur la table et les verreries émettre un cliquetis.
Je relevais les surprises.
- Qu'est ce qui te prend ? Lui demandais-je subjugué par son état soudain.
- Ne dit pas ça bruh ! C'est faux !
Sa voix s'adoucit.
- Tu es une chercheuse douée et déterminée dans ce qu'elle entreprend, qui s'échine à changer les choses.
Tu es plus une heroïne que la plupart des gens."

Je rougit encore, mais qu'il se taise ou il va me faire fondre.
Qu'est ce qui lui passe par la tête de me dire des choses comme cela, lui qui ne parle serieusement que les vendredi 13 des années bissextiles.
La journée passa lentement, mais pas le genre de lenteur qui dérange.
Une douce lenteur, faite de discussions intéressante de travail et malgré tout d'un épisode quelque peu... coment dire...
Assez étrange en fait.
Lors d'une expérience j'ai demandé à Epic de me passer un scalpel. Il me l'a donc tendue mais... lorsque j'ai effleuré sa main je me suis rendue compte de la chaleur qu'il pouvait dégager. Il n'a pourtant pas de peau...
Mais je crois que ce qui m'a le plus perturbé c'est l'effet que m'a fait ce contact, aussi infime soit-il.
J'ai sentis un long frisson parcourir mon corps. Un frisson plutôt agréable pour tout dire.
Le soir est alors arrivé et, me rendant compte que je n'avais absolument pas aboutie ma recherche, je décidais de passer la nuit au labo comme cela m'arrivait souvent.

- "Bruh ! Encore sur tes calcules sweetheart ?
Je tourne alors la tête vers le squelette.
- Oui... je n'arrive pas à trouver ce fichu résultat... et mon cerveau commence à fatiguer... je ne supporte pas ça. Quand la fatigue te rend incappable de réfléchir... ralais-je en me massant les tempes.
- J'ai peut être une solution bruh. Tu vois le frigo à échantillon j'y ai mis une boisson énergisante va te servir je te l'offre.
Je souris.
- Oh merci c'est très gentils. Mais dis moi tu ne rentres pas chez toi ce soir ?
Il soupir.
- Bruh... tu sais personne ne m'attend et puis je me dis que tu auras besoin d'une compagnie nocturne. Replique-t-il en me faisant un clin d'oeil.
Je lève les yeux au ciel.
- Bon je vais aller voir pour cette fameuse boisson énergisante."