Chapitre 13 - Treize

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Chapitre 13 - Treize


Je ne savais pas trop ce qui était arrivé à la sortie de Moscou pour prendre l'air, mais je savais qu'Arthur avait été touché à l'épaule. Pourtant, je ne bougeais pas de chez moi à moins de recevoir des ordres, j'avais déjà arrêté d'écrire quelques minutes auparavant. Assez longtemps pour adresser une lettre spéciale au professeur, c'était une demande particulière , mais il ne la recevrait qu'au moment le plus extrême sinon elle disparaîtrait avec moi. Tokyo a couru jusque là où je me trouvais, aussi étrange que cela paraisse être calme et que je ne me sentais plus ni froid ni froid, écrit calmement, alors ce serait mon oxygène ici, écrivez tout ce qui se passait dans mon cœur .

- Athènes, nous avons besoin de toi! - Elle a dit à bout de souffle en me tirant par le bras, nous avons couru ensemble vers le haut où j'ai trouvé l'Arturzinho étendu sur une civière improvisée avec du sang jaillissant sur l'épaule, ça m'a rendu nauséeux, je me suis souvenu de la classe du professeur, travailler avec du sang n'était pas ma plage - Nous n'obtenons pas la balle ...

"Tu veux que je le prenne?" J'avais un sourcil effrayé. "Pourquoi moi?"

"Fous le camp, ça fait trop mal!" Artuzinho a crié de douleur.

- Regardez la bouche d'Artuzinho, si je ne laisse pas cette balle là-dedans et vous en assène une autre! - Il a dit prendre le fusil de l'épaule et le livrer à Rio. Je ne savais pas vraiment où il commençait et le simple fait de penser à ouvrir une plaie sans me faire mal au muscle me faisait déjà souffrir.

J'ai commencé à essuyer la plaie avec de l'alcool, alors que j'avais l'aide des autres. J'ai vu que, à ce moment-là, Arturo était à la limite de la vie, attendant un signe de mort pour savoir immédiatement pourquoi il était ici, s'il devait rester en vie sa femme qui était là-bas, ou son amant enceinte, avec qui il avait commencé une nouvelle aventure, malheureusement, j'ai eu une nouvelle terrible à lui annoncer, sa femme allait découvrir son amant, celui qui était aussi mort et le cours de base que le professeur nous a dit que les premiers secours n'aidaient pas beaucoup, puisque je n'ai pas atteint la balle.

- quoi? "Denver m'a demandé.

- Appelez Berlin, dites-lui que nous devons demander de l'aide, chirurgiens si nécessaire, la balle est logée très profondément! Dis-je en regardant la plaie ouverte, pris de la gaze et fais le pansement rapide par-dessus.

"Si vous étiez plus proche pourriez-vous l'obtenir?" Denver avait l'air curieux, je le regardai, ses yeux s'écarquillèrent.

- Oui, si j'étais juste entre le muscle, je crois que c'est plus facile, mais ici, il semble avoir pénétré dans plusieurs autres endroits! Je le fixai, ma main était tachée de sang et l'odeur de l'alcool me dérangeait.

[...]

Je suis devenu infirmier et j'ai appris qu'Arturo gémi de douleur m'ennuyait. Je ne savais pas combien de temps s'était écoulé, mais mon travail consistait à le garder éveillé jusqu'à l'arrivée des chirurgiens. Berlin est apparu un peu plus tard, nous étions toujours de mauvaise humeur, maintenant c'est avec lui que j'évite de parler directement.

- Félicitations Arturo, tu vas parler à ta femme! - Dit-il en s'approchant avec un téléphone portable à la main - Comment s'appelle-t-elle?

"Laura ..." répondit-il, gémissant de douleur.

"Quel beau nom ... Les épouses ... En fait, les femmes sont généralement bonnes pour cela ... Nous soulager pendant les moments difficiles - Berlin me regarda brièvement, je me mordis le coin de la bouche et roulai des yeux - Comme la bible l'a déjà dit , derrière un homme vient toujours une grande femme ... Ou quelque chose comme ça, excusez-moi, je ne suis pas très religieux ... Mais dites-moi Arturo, à quelle femme pensez-vous maintenant?

L' autre côté de la médaille (The House of Paper)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant