une douche d'argent

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De cette dernière lune en Égypte, j'entends patiemment l'eau tombé dans la pièce voisine.

Cherchant à divaguer outre que ton corps nue sous cette pluie brûlante submergé de brume.

À imaginer tes cries si je venais à te rejoindre, sous cette douche battante.

Et si je ravageais ta peau brûlante de baiser.

Si je venais salir ton corps de luxure sous cette maigre douche.

Si j'ouvrais lentement cette porte pour t'y rejoindre.

Je ne ferais aucun mal, que des biens heureux.

Et je peux d'ici t'entendre chanter une chanson ridicule qui tu as attrapé au passage d'un super marché.

Toi même tu ignores que tu la chantonne.

Tu dois être tellement adorable ainsi, que ma curiosité me fait entrouvrir la porte sans bruit.

De mes yeux curieux, j'observe ton corps camouflé du rideau où ta silhouettes et émincement visible.

La tentation ne deviens que trop grande, excuse moi Avdol mais tu es bien trop sexy ainsi pour que je ne résiste.

Mes vêtements ne me seront d'aucune utilité, jetons les au fin fond de la chambre.

Et laisse moi me dresser à pas de loup derrière toi.

Sous la chaleur apaisante de l'eau, et vois tu à telle point ton espace et étroit dorénavant par ma simple arrivé ?

Je dévores sans hésitation ta nuque, sous ton étonnement soudain de me voir ici.

Tu ne devrais pas l'être, lorsque tu laisses la porte ouverte à l'issu de ma porté.

Tu ne peux à peine mouvoir dans ce bac, je trouve cela simplement parfait, où je poses mes mains sur le haut de ton torse.

Pour y descendre au rythme de mes lèvres sur ton dos.

Tu m'échappes un gémissement lorsque j'atteins le bas de ton dos.

Et je remonte le long de ta colonne pour ne pouvoir que sentir ta nuque, tandis que mes mains cascade dangereusement vers le bas de ton corps.

De mes dents je viens tendre ton oreille de celle ci, sous tes cries étouffé lorsque je tiens l'objet dans le creux de ma paume.

Cela te plait il d'être dans cette douche ? Où je me balade sur ton corps, où je tiens tes lèvres ouverte de mes doigts pour t'entendre gémir.

Gémi pour moi, je veux t'entendre hurler pour moi, crier pour moi.

Je veux que tu jouisse au creux de ma main.

Et je te prendrais au centre de cette douche d'argent où mon cœur bascule.

Et où je peux sentir tes hanches se balancer avec peine contre ma peau, sous tes soupirs rauque sous l'emprisonnement de mon toucher.

Et je dévalises ta peau d'une avalanche de baiser lâches, sous  la dégringolade de mes caresses.

Et je chutes lentement vers ton fessier où tes cries me semble plus fréquent et où tu cherche désespérément à frôler tes hanches contre moi.

Je pourrais rester ainsi des lustres à savourer tes hurlements et à t'entendre supplier mon nom au milieu de cette douche d'argent.

Mais sous l'eau brûlante qui fracasse nos corps, je viens me faufiler au creux de toi, sous ta demande plaintif.

Embrassant le dos de ta nuque, de mes lèvres qui frôle ta peau, prenant goût de ta saveur.

J'entremêle mes mains avec les tiennes sur cette paroi vitreuse qui te serre d'appui .

Et prions pour que personne ne rentre, nous somme dans une situation plutôt délicate Avdol, j'ai oublié de fermer correctement la porte.

Évitons de traumatisé les âmes sensibles.

Mais nous nous arrêtons pas pour autant, car je ne veux stoppé cette douche d'argent.

Où j'enflamme ton cœur de mes coups et où  tu aiguises mon cœur de tes grognements.

Où je te chuchote au creux de ta nuque, plaquant ton visage vers le miens pour tenter un baiser.

Ô diable que cela m'avait manquer le délicatesse de tes lèvres sur les miennes.

Et qu'importe ta position je prend avec fougue tes lèvres, remontant ton menton vers moi.

Tu me semble si accessible ainsi, j'aime cela pouvoir prendre possession de ton corps comme bons me semble.

Et je te veux face à moi, pour observer ton visage ravagé par le plaisir inouï que je t'apporte.

Plaquant ton dos sauvagement contre les parois de la douche, plaçant ta jambe suffisamment haute pour te voir te tordre sous mes coups.

Et admirer tes yeux mis clos et ton corps se cambrer lorsque tu viens gémir.

Et plantes moi tes ongles si tu le veux sur mes épaules, si je peux attendre le doux louage de tes hurlements.

Et écouter les palpitations de ton cœur et offrir mon amour sous cette douche.

Tu me semble si sexy ainsi, Avdol,  lorsque tu es à ma merci.

Et que tu te débat de désir sous ma peau, et gouter à tes cries étouffé par mes lèvres.

Et sous les dernières gouttes d'eau, je viens clore cette douche d'argent au centre de ton torse pour un dernier baiser et ressentir le poids de ton corps épuisé sur mon épaule.

Où je peux entendre ta respiration courte sous l'étirement radieux de tes lèvres.

Peut être ne devrons nous pas parler de cette incident à la réception de l'hôtel.

Optant pour l'ignorance sous les dégâts hasardeux causé à la douche.

Et je te répètes au combien de fois je t'aime sous ton visage angélique, et je te souhaite une douce nuit à mes côtés.

Même si cela ne peux  l'être qu'ainsi à mes côtés.

Et nous irons défigurer Dio ensemble, je t'en fait la promesse.

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De rouge et d'argent  (Avpol)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant