The Blue Snakes. {TERMINEE}

Leçon N°19 : Transfert.

Grâce à notre succès aux derniers examents trimestriel, le poulpe avait relâché la pression sur les cours. Nous avions mis une de ces pâtées à la classe-A et nous n'en étions pas peu fières.

Karma : Psst, Nafi. Tu trouve pas que Terasaka ressemble étrangement à Jean dans l'Attaque des Titans?

Nafisah : Putain, maintenant que tu le dis, si. La même coupe de cheveux...

Karma : Le même air crétin...

Nafisah : Si ça se trouve, c'est un cousin caché d'une autre dimension. Il doit avoir la même cervelle aussi molle.

Terasaka : Hé vous deux, je vous entends! Qu'est ce que vous racontez sur mon dos encore?

Karma : Oh rien. On disait juste que tu ressemblais à Jean Kirschtein.

Nafisah : Tu a prêter tes traits à Isayama où quoi? En tout cas, ta cervelle est aussi flasque que le personnage.

Terasaka : Je vous emmerde tout les deux! Je suis beaucoup plus beau et intelligent que ce cheval!

Karma : Tiens, et si ton nouveau surnom était Teraponey?

Nafisah : J'approuve ce surnom à 200%! Monsieur Koro!

Terasaka : La ferme, Nafisah!

Koro : Nyeh?

Nafisah : Karma à trouvé un nouveau nom de code pour Terasaka! Teraponey!

Toute la classe se mirent à rire à plein poumon. Puis, la cloche sonna annonçant la fin des cours pour aujourd'hui.

Koro : Bien, les enfants. N'oubliez pas que demain, vous avez piscine. N'oubliez pas votre maillot de bain et votre serviette et vos habits de rechange et...

Rio : On a compris, Monsieur. Nos affaires de piscine quoi.

Ce soir la, j'étais de corvée de ménage dans la classe-E. Nagisa et Karma avaient décidés de m'attendre à l'extérieur du bâtiment. Je déteste faire le ménage. Au bout de trente minutes, j'avais enfin terminé. Alors que j'allais sortir du bâtiment, je passa devant la salle des professeurs et entendit une conversation qui m'intriguait. Il y avait deux voix familière que je put reconnaitre immédiatement. Le proviseur et ma mère. Qu'est ce qu'elle foutait ici elle? J'espère que poulpy a refilé son costume dégeulasse d'humain et saura se faire discret. Je me colla contre le mur et me fit discrète afin d'écouter la conversation.

Proviseur Asano : Pour être franc, je serais ennuyé que la classe-E ne reste pas la classe des plus faible. Aussi, il m'est impensable de laisser une élève aussi brillante que Mademoiselle Shiota dans cette classe. J'ai donc accédé à la requête de Madame Shiota afin d'intégrer de nouveau sa fille dans la classe-A et qu'elle n'en bouge plus. Quand à son fils, c'est un autre cas. On s'en occupera plus tard.

C'est une putain de blague? Alors, ça y'est, ma mère passe à la contre attaque en nous faisant transférer dans une autre classe, moi et Nagisa, tout ça parce qu'on est partis vivre chez notre père? Quelle...gneuh, reste calme Nafisah.

Karasuma : Monsieur Asano, pouvons nous nous entretenir seul avec Madame Shiota?

Proviseur Asano : Bien, je ne vous dérange pas plus longtemps.

La porte s'ouvrit et le proviseur Asano sortit de la salle des professeurs. Il remarqua ma présence et referma la porte derrière lui.

Proviseur Asano : Oh. Bonjour. J'espère que tu a eu le temps de dire au revoir à tes camarades. Tu va bientôt de nouveau intégrer l'élite.

Puis, il partit, sans rajouter quoi que ce soit. Furax, j'entrit dans la salle des professeurs.

Nafisah : Hé, maman, c'est quoi ce bordel? Pourquoi tu me force à intégrer de nouveau la classe-A?

Hiromi : Tu va baisser d'un ton jeune insolente. Mais comment j'ai pu éléver une enfant avec aussi peu d'ambition? C'est pas en restant avec des élèves aussi nuls que tu arrivera à faire quoi que ce soit!

Nafisah : Ferme la, c'est pas toi qui m'a élever, c'est papa! C'est ma vie, c'est la vie de Nagisa, et si on veut rester dans la classe-E, c'est notre choix! Je retournerais pas dans cette classe!

Puis, je sortis en trombe de l'établissement. Karma et Nagisa virent que je sortir et me rejoignèrent.

Nagisa : Nafisah? J'ai vu le proviseur sortir tout à l'heure, il se passe quelque chose?

Nafisah : Tch, ouais. Figure toi que notre vieille est la. Elle veut me transférer en classe-A et toi en classe normale. Et apparement, le proviseur a accéder à sa requête.

Karma : Quoi, sérieusement? T'en fais pas, tant que notre prof principal, en l'occurence Karasuma, n'autorise pas votre départ de la classe-E, vous ne bougerez pas d'ici.

Nafisah : Ouais bah y'a intérêt à ce qu'il n'autorise pas notre transfert.

Soudain, on entendit notre mère gueuler depuis l'intérieur du bâtiment.

Hiromi : Pour qui tu te prend? T'es son prof, pas son père! C'est moi qui décide pour leurs avenirs, ils feront ce que je leur dis de faire! Je me demandais pourquoi ils étaient aussi désobéissants maintenant mais tout est clair maintenant! J'en ai assez, je rentre à la maison! J'aurais une discussion avec eux à leur retour!

A, ça y'est, la vieille bique à piquer sa crise.

Karma : Hé ben, elle est cinglée votre mère.

Nafisah : Ah, tu comprend maintenant pourquoi j'ai forçé Nagisa à venir chez notre père avec moi.

Karma : Ouep, même moi je pourrais pas supporter de vivre avec un tel châmeau.

Hiromi : Jeune homme, vous avez intérêt à ne plus vous approchez de ma fille! C'est à cause de toi sale garnement qu'elle n'obéit plus!

Ah, depuis quand elle est la, elle?

Nafisah : Hop hop hop, je t'arrête tout de suite, maman. J'ai toujours été ainsi, que ce soit en vivant chez toi ou chez papa! Karma n'a rien à voir avec tout ça, donc laisse le en dehors de ça! Et tu m'empêchera pas de voir mon petit ami!

Hiromi : Tu parle d'un petit ami! Je t'en trouverais un bien meilleur, Nafisah! Maintenant, rentrez avec moi, on doit avoir une discussion!

Nagisa traina des pieds en suivant maman. J'envoya de suite un message à mon père afin de l'avertir que nous ne rentrerons pas chez lui ce soir et que nous devions avoir une discussion avec notre mère. Puis, j'embrassa Karma sous les yeux de la chieuse qui râla de plus en plus.

Karma : A demain, princesse.

Nafisah : A demain poivron.

Karma : Bonne chance pour supporter la tornade.

Nafisah : Ouais, il va nous en falloir.

Puis, nous rentrions avec notre mère à la maison. Ca allait vraiment barder, je le sentais.