Une suite pas comme les autres.

Chapitre 5 : Une journée ensemble

J'ouvrais les yeux à six heure du matin, je soupirais en sachant que je n'arriverais pas à me rendormir, je me levais doucement pour ne pas les réveillés, je sortis de la chambre pour tombé nez à nez avec mon père.

- Roxanne, tu tombes bien.

Je fronçais les sourcils en penchant la tête.

- Comment ça ?

- Vient avec moi.

Je commençais a le suivre, il ouvrit la porte de son bureau pour entré, il continua une fois assit.

- J'ai un petit cadeau, il t'a offerte une bague qui apprenait a ta grand-mère qui les avait eu de la sienne, ses bijoux sont dans la famille depuis le premier Scarlette, mais si la femme a une jolie bague, l'homme se doit d'avoir une chevalière toute aussi époustouflante.

Il me tendis une boite, je l'ouvris en m'asseyant, elle était magnifique, un rubis rouge au centre, entouré par un soleil d'or et enfin de chaque côtés un phénix.

- Woaw, Père vous nous gâtés.

- C'est le premier homme qui rentre dans la famille c'est normal.

Je lui souris.

- Merci, je lui donnerais ce soir.

- En parlant de ce soir, j'ai une mission pour toi.

Je levais les yeux au ciel.

- Mais c'est l'anniversaire de maman.

- C'est pour quand tu rentres, ta cible est à Paris.

Je fermais les yeux.

- Très bien, merci encore pour la chevalière.

Je tournais les talons et une fois la poignée en main, j'entendis le grincement de son fauteille me signalant qu'il s'était tourné vers la fenêtre, il se racla la gorge.

- Ne soit pas en retard.

Je sortis du bureau pour allé dans la cuisine, j'avais une faim de loup, maman buvait son café en fumant une cigarette, je ricanais.

- Bonjour.

Elle se tourna vers moi en haussant un sourcil avec un tendre sourire.

- Bonjour, en effet.

Je souris en me sevrant une tasse de latté macheto avant de m'asseoir face à elle.

- Qu'est ce que tu entends par là ?

- Rien, tu es vraiment heureuse.

Elle se leva pour me caressé la joue en reprenant.

- Si tu savais comme je suis contente pour toi, avec notre famille et les règles, si ton grand-père aurait encore été là, jamais cela n'aurait été possible, ton père a changé une loi ancestral pour toi.

J'étais étonnée qu'il ne s'en soit pas vanté ou qu'il ne m'avait pas fait faire de mission plus tôt avec cet argument en monnet d'échange. Je soupirais en souriant de toute mes dents.

- Oui, je suis vraiment heureuse.

Elle se rassit en frappant des mains.

- Vous avez déjà fixer une date ?

Je pouffais.

- Oui, mais pas l'année.

Elle pencha la tête.

- Je pensais que vous étiez pressé.

Je bu une gorgé en souriant doucement.

- Pas vraiment de plus, on a été sélectionné pour des castings, deux séries et deux films.