Une suite pas comme les autres.

Chapitre 32 : Je ne te mérite pas

Je lui lançais un regard noir, comment osait-t-elle être là, aujourd'hui, J'ouvrais la bouche mais on me coupa l'herbe sous le pied.

- Maman, quel est le nom de ton amie ?

Comme par réflexe, je reculais avec Sammy, avant de lui sourire de toute mes dents.

- Ce n'est pas une amie, mon ange, je te souhaite un très joyeux anniversaire, tu es un jeune homme maintenant, je t'ai préparé ton petit déjeuné préféré, Sébastian t'attend.

Il me sourit en me prenant dans ses bras.

- Merci maman, je t'aime fort!

Je souris en l'entourant de mes bras.

- Moi aussi mon ange.

Il me serra une dernière fois avant de partir à la cuisine, je retournais un regard noir vers elle.

- Dégage et vite, je ne me répéterais pas.

- Il a tellement grandit...

- Je t'interdis de posé les yeux sur lui! Comment ose-tu te présenté a ma porte comme si de rien n'étais?!

Elle roula des yeux en croissant les bras.

- Et bien, frustré a ce que je vois.

J'écarquillais les yeux en serrant les dents.

- Répète pour voir!

Elle plissa les yeux avant de soupiré.

- Bien, désolé, je voulais voir ce qu'il était devenu parce qu'au fond, même si j'ai été terrifier en le voyant, depuis que vous êtes partis avec lui, je n'arrêtais pas de me demander comment il était, à qui ressemble-t-il, c'est le portait craché de Prime, enfin Amine... J'ai beaucoup changer en dix ans, j'ai vécue et appris beaucoup de choses, mais pas un jour ne passe sans que je ne pense à lui, alors je veux lui dire la vérité, que j'ai eu trop peur de ne pas être une bonne mère, qu'étant seul sans compagnon cela aurait été bien trop dure pour moi a l'époque, mais qu'aujourd'hui le temps a passé qu'il doit savoir que je suis celle qui la mit au monde et que j'aimerais faire partis de sa vie.

Je baissais les yeux, Ezra avait raison, j'étais vraiment trop gentille, je relevais les yeux vers elle, elle avait l'aire classe, portant un tailleur bleu marine et un chemisier en soie noir, de petit talon noir et les cheveux parfaitement noué dans une chignon, elle était plus sure d'elle, elle avait en effet changer, même si elle restait puéril. Je soupirais en ouvrant plus grand la porte.

- Entre.

Elle me regarda surprise.

- T'es sur ? Le lien entre une mère et son enfant, c'est quelque chose d'énorme, il ne sera plus comme avant avec toi après ça.

- Tu veux que je change d'avis ?

Elle entra sans rien ajouté de plus, j'avançais, alors qu'elle restait en admiration de mon entré, elle levait les yeux sur le lustre en cristal de l'entré, ses yeux écarquillés, sa bouche ouverte.

- Mais comment vous pouvez avoir ce genre de château.

- Allons, ce n'est qu'un petit manoir comparé a ma maison de famille, et on travail pour avoir tous ça, pour que nos enfants ne manque de rien.

Elle baissa les yeux.

- Cela m'a blessé violemment quand il t'a appelé maman.

- Amine me l'a demander et j'ai accepté.

On arrivait au petit salon, je lui ouvrit la porte pour elle entre.

- Je vais le cherché, il finit surement son petit déjeuné, si vous voulez quelque chose demander a Bruce.