O.S PROMPTIS TRASH

Gris

Quand le ciel s'assombrissait, et que les rues se vidaient, Noctis était heureux.

Quand on est habitué à la solitude, on ne ressent plus grand chose quand personne n'est à ses côtés.

C'était ce qu'il pensait.

Un jour, il rencontr Prompto, et tout rentra dans l'ordre. C'était comme avant la mort de sa mère, les blessures étaient guéries.

Plus ou moins.

Il faisait des crises de paniques, il se réveillait très tard le soir, en sueur. Mais ce n'était pas grave, puisque Prompto était là.

C'était comme dans un cocon de protection, un cocon qui le protégeait du monde extérieur.

Tout allait bien.

Jouer aux jeux vidéo, fumer des joints. Prendre la régalia pour finir complètement bourrés, à minuit devant le drive du coin.

Souffles enlacés, jambes entremêlées.

Leurs âmes étaient sœurs.

L'union terrible, mais inévitable de la solitude et de la haine de soi.

Noctis se rendit compte que tout n'était pas aussi parfait qu'il le croyait. Prompto n'allait pas bien. Et il ne pouvait rien y faire.

Finit l'amour, finit les baisers sous la lune.

Il était parti, et plus rien ne pouvait le faire revenir.

Il pensait ne plus jamais souffrir, et pourtant son cœur n'avait jamais été aussi creux.

Que faire lorsque l'être aimé n'est plus de ce monde ?

Quand le silence redevient notre seule unique idylle ?

Les jeux vidéo, l'herbe, le McDo, tout cela devient obsolète quand le monde s'écrase sur ses épaules.

Et Noctis ne pouvait pas le supporter.

Pourtant, il le devait.

Il savait qu'il devait vivre.

Il savait qu'elle serait la réaction de Prompto s'il disparaissait.

Si toutefois Prompto était toujours en vie.

Des si, rien que des si. Il refaisait le monde avec des mots, enveloppé dans la chappe grisâtre de ses souvenirs.

Et il se rendit compte que cela devait cesser, impérativement. Qu'il ne devait plus dépendre d'une autre personne pour vivre.

Et petit à petit, il rapprit à sourire. Cela avait pris du temps, des larmes, beaucoup de larmes, mais il était sorti de son cocon, définitivement.

Encore une fois, les blessures cicatrisaient, et la vie continuait.

Mais quand le ciel s'assombrissait et que les rues se vidaient

Il pensait à lui.

Plus ou moins.

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J'AI ECRIT Un TRUC SERIEUX JE SUIS FIERTé

ptdr

Déso si ca fait pas de sens, g écrit ca avec autant d'ardeur que mon bac de francais pour vous dire

si vous avez des idées specifiques d'os dites le, je sens une certaine redondance dans mon texte. On s'fait chier ici.

 Vous pouvez meme me donner des challenges :))

stan loona bonne journee