Jour 1

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Dans une classe de terminale, Bilhal le gay assumé de la classe, métissé marocain, yeux noirs profond, cils longs comme le Nil, brun et le cœur chaud, vît le doux Georges, grand, la peau neige, les cheveux ténébre, la barbe nuit, s'approcher lentement de lui. Son cœur se mit à battre la chamade. Georges, tactile à son habitude prend le petit Bilhal dans ses bras. Le souffle chaud de Georges dans le cou du jeune homme l'emplit d'une douce sensation de bonheur. Cependant Georges n'était pas gay, du moin il ne le pensait pas...

Un jour d'hiver, la beauté du paysage offrait aux deux âmes sœurs une opportunité de se rapprocher, le froid. Une brise glaciale gelait les joues de notre garçon exotique qui se blotti  contre le corps chaud du beau ténébreux. Leurs yeux se croisèrent, leurs lèvres si proches qu'ils sentirent le souffle de l'autre, leurs cœurs battaient à l'unisson sous les flèches de Cupidon. Soudain, l'heure tardive interrompis ce doux moment révélateur d'un sentiment profond, l'heure d'aller en cours, l'un en espagnol, l'autre en allemand.

Une fois en cours chacun d'eux s'imaginait dans les bras de l'autre peut être, leurs lèvres en symbioses éventuellement ou peut être une main qui se ballade et... La fin du cours. Après avoir rangé rapidement leurs affaires, ils se rejoignèrent dans la cour et prirent part à une discution classique avec leurs amis tout en se jetant de doux regards furtifs, ils savaient qu'ils pensaient la même chose. Les toilettes de l'ancien gymnase. Elles sont toujours vides, inoccupées, et pendant ces deux heures de pause, ils sentaient le désir s'emparer d'eux.

Leurs lèvres se touchèrent comme les goutes de rosé sur les fleurs du jardin d'Eden.
La main de Bilhal caressait la peau nu sous le tshirt de Georges qui se surprend a glisser sa main vers les fesses de Bilhal. Georges prit alors conscience de son action. En effet, Georges était persuadé de son hétérosexualité mais ça ne lui déplaisais pas d'être dans les bras de Bilhal.
Georges, gêné de tout ça décide de prendre du recul sur la situation et demanda à Bilhal que tout deux retournent avec leurs amis.

Plus tard, dans la soirée, Georges et Bilhal discutèrent par messages téléphoniques.
- Dis moi Georges, pourquoi tu t'es arrêté tout à coup j'ai fait quelque chose qui ne t'as pas plu ?
-non... ce n'est pas ça... Je ne sais pas.... tu sais c'est la première fois que je... fin avec un garçon tu vois...
-Ça te plait ?
-oui.... je crois...
Puis, Georges envoya une photo de lui sortant de la douche la peau encore humide, les goutes d'eau lui ruisselant encore sur le corps.
Le cœur de Bilhal se mit à battre si fort qu'il se senti essoufflé. Il envoya alors à son tour une photo de lui, torse nu, bronzé. Georges souriait et s'en suit une longue série de photos de plus en plus intimes bercées par la chaleur intense du moment.

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