Je m'inquiète pour Eren...

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Pdv Marco:

Je suis en pyjama dans mon lit à attendre mon conjoint et je suis pris de remord.

Eren était encore vierge. Est ce qu'il a souffert? Est-ce que le client a été violent avec lui? Est-ce que j'aurai mieux fait de refuser le service spécial? Et si Eren m'en voulais et ne voulais plus être mon ami? Ou même qu'il ne veuille plus travailler dans mon café?

Je me prend la tête entre les mains.

Marco: Qu'est-ce que j'ai fait...? Eren à perdu sa pureté à cause de moi!

Jean: Tu t'inquiète vraiment pour Jaeger?

Il vien s'asseoir sur le lit à côté de moi alors que mes mains serrent les draps, un tic que je n'ai jamais réussi à contrôler.

Marco: Oui...

Je me retourne brusquement vers mon petit ami.

Marco: Et s'il m'en voulais au point de ne plus me parler et de démissionner?! Et si-Mmmph!

Il colla ses lèvres aux mienne pour me faire taire.

Jean: Tu te préoccupe trop de tout le monde. Tu n'es pas leur ange gardien, tu es le mien et le mien seulement.

Il me force à me coucher sur le lit et se met à quatre patte au dessus. Il lèche mes lèvres, demandant l'accès que je lui accorde tout de suite.

Nos langues se lancent dans une danse endiablée alors qu'il me retir mon pantalon et mon caleçon, dévoilant mon membre durci.

Jean: Tu es déjà exciter?

Marco: Difficile de ne pas l'être avec un Jean jaloux dans mon lit.

Il ricanne et relève mon t-shirt pour aller mordiller mes tétons, me faisant gémir. Il faut dire que cette zone est plus érogène chez moi que chez les autres. Et ça, mon amour la rapidement compris.

Il retir à la hâte ses vêtements, la tension étant palpable, je tremble d'empressement de le sentir en moi.

Jean: Je vais te remplir comme il se doit.

Marco: J'attends que ça...

Il entre tout en moi d'un coup. Je cri de plaisir en me cabrant. Je suis tellement habitué à son membre que je ne souffre pas le moins du monde.

Au bout de seulement quelques vas et viens, il touche ma prostate. Je ne suis plus capable de réfléchir, seulement de crier son nom et de pleurer de plaisir.

Lorsque je sens sa semence couler en moi, je n'en peux plus et vien sur mon torse.

Il se retir en me faisant gémir et lècha le liquide qui se trouvais sur mon torse. Une fois cela fait, il vint se coucher à côté de moi et je me blotit contre lui.

Marco: Tu es sûr que je m'inquiète trop...?

Jean: Oui. Et puis, si ça l'aurais vraiment déranger, il n'aurais pas continuer son service après.

Marco: Pas faux...

Et je m'endormi dans les bras de mon chéri...

Le riche et la maidOù les histoires vivent. Découvrez maintenant