J'avais mal partout. Je me sens sale, humilié, meurtri, souillé, broyer de l'intérieur. J'ai mal. J'ai envie de mourir, je ne peux pas vivre avec le souvenir, de leurs mains sur mon corps. La pleine lune vient éclairer mon corps, je vois des hématomes, du sang séché, sur mes bras, mes jambes, à l'intérieur de mes cuisses, ma robe est déchirai. Je ne peux faire autre chose que pleurer. Mais c'est alors que je remarque que je ne suis plus attachée. Il faut que je sorte de la. Avec peine et douleur, je me relève et attrape la chaise, je la positionne en dessous de la fenêtre. Merci mon dieu elle n'est pas condamnée, je tourne la poignée, et tant bien que mal essaye, de me hissais vers la sorti. Je suis dehors. Je dois retrouver le chemin du club. Pablo ou Alejandro y seront peut-être. Je traverse la ville, à pieds, heureusement personne n'est dehors à cette heure que je devine tardive. Je ne sais pas combien d'heures j'ai marchais. Je reconnais une petite rue sur ma droite, c'est celle ou j'ai rencontrais le dealer le jour de mon arrivée à Cancún. Je puise dans mes dernières forces pour atteindre le club. Je désespère sur la porte une affiche indique que le club est fermé. NON, ce n'est pas possible.je pousse la poignée vers le bas et la porte s'ouvre.
Je n'ai plus de forces, mon corps me lâche, je tombe sur les marches. Tout deviens flou autour de moi, je sens la vie en moi partir, j'ai froid, j'ai envie de l'appeler, d'appeler l'homme que j'aime, mais aucun sons ne sort, je me sens tombé dans l'inconscient, j'ai l'impression d'entendre un cri, des pas se rapprochant de moi, on me soulève la tête, une voix lointaine me dit de me réveillé, et puis plus rien.
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El precio de la verdad
RomansaLuzia Suarez, était paralysée, devant cette lettre qu'elle lisait pour la centième fois. Les derniers mots de son père à son égard. Cela faisait maintenant deux semaines qu'il était mort. Son père avait était retrouvé mort derrière le night-club «...