Chapitre 1: Souvenir et Réalité

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J'ouvre les yeux , face à moi un plafond recouvert d'humidité. Couché sur ce que l'on pouvait appelé un lit c'est à dire quelques planches de bois en dessous de quelques dizaines de vieux oreiller troués recouvert d'un très fin drap pour le coup dans une chambre de cinq mettre carré sur six. Je regardais Nini qui dormait encore paisiblement, ses cheveux crépus d'un marrons assez corsé se rapprochant du noir me faisant pensé à ces divines princesse tout droit sortie d'un conte africain, ou ils sont tous vêtue d'or et de bijoux somptueux. Cette pensée me fait brièvement sortir de la réalité qui est jusqu'ici pas très colorée.

Nini avait 3 ans et demi lorsque nos parents ont succombé à une terrible maladie, par peur que nous l'attrapions nous aussi ils nous ont envoyé chez notre tante dans un quartier de Brookling. Le fameux cinq mettre carré sur six que nous partagions avec notre tante Katy, son mari Frédéric, nos grands parents et nos cousins Abbil et Ryan qui ont la même tranche d'âge que Nini mais ils sont un peu plus grand.

Je descendis du lit en m'assurant de faire le moins de bruit possible pour ne réveiller personne. Je m'approchai de la porte quand je fis intrigué par les voix que j'entendais.

- Je t'en supplie ne me force pas à faire ça... Je peux toujours travailler en attendant, comme femme de ménage ou encore Nounou. Je fus confuse et déconcerté ne sachant quoi, ni quoi dire. Voir ma tante pleuré autant été une chose que je n'avais jamais vue, même lors du décès de mes parents.

- Les frais médicaux de ta mère son très chère et nourrir une famille de huit personnes c'est énormément de d'argent ont y arrivera pas.

- Je ne peut pas faire....ça...Ce sont des enfants. Comment vont-elles faire.

-Bon tu as gagné demain j'irais chercher du travail, maintenant arrête de pleurer et vas réveillé tout le monde. On doit parler. Je vois ma tante partir en sanglots et se diriger vers la chambre en essuyant ses larmes. La voyant s'approcher je fis un semblant de me réveiller à peine, elle ne fit pas attention la tête prise entre les mains elle alla devant la coiffeuse et je ferma la porte. J'allai dans le salon ou était ma tante retrouvé Fréderic.

-Romann! Tu es réveillé? Tu as bien dormis ? J'inspire profondement bien que ma seul envie etait de lui répondre totalement autre chose. Je fit abstraction de ce que j'ai entendu il y a quelque minute. Bien qu'il soit un faut cu de première il nous a accueillit chez lui et nous a jamais mis de côté mis appart toute à l'heure. Tout cela pour répondre simplement....

-Oui j'ai...j'ai bien dormit merci

-Bon Romann , tu sait tu es très mature pour ton age et avec Katrine on t'as toujour donner l'intimité dont tu mérites si tu vois ce que je veux dire.

Bien que je ne comprenais pas ou il voulait en venir j'approuva de la tête. Il avait un aire bizarre, pas comme d'habitude. Son regard était sournois comme si il voulait me faire passer un message.

- Aujourd'hui nous devons faire certains changements, et cela comporte des économies.
A partir d'aujourd'hui Tu ne pourra plus prendre ta douche seule pour faire des ..

- Des économie, j'ai compris. Dis-je d'un ton ironique.

Pour de vrai je ne savais vraiment pas pourquoi il était comme cela avec moi c'était très déconcertant.

D'un ton spontané me faisant sortir de mes pensées il me dit :

-Du coup tu t'es déjà lavé. Tout en me regardant de la tête au pied avec un large sourire dessiné sur son visage.

D'un aire plutôt intrigué car tout cela devenait de plus en plus bizarre je lui répondis

-Noooon..eux...non..non prq

-Je prendrais ma douche avec toi j'ai un rendez-vous et il faut que je face vite si je veux y arriver à l'heure

-ok dis-je en haussant les épaules

Il avait réson j'étais très mature pour mon âge donc au lieux de penser au pire j'ai préféré l'ignorer

« A partir de ce moment là je ne le savais peut-être pas mais ça allait être le début du callever... »

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