Ça va vous spoiler plein de trucs. Bon je vous donne des idées; c'est fantastique/merveilleux moderne . Il y a beaucoup d'amitié, quelques parties romantiques , pleinnnnn d'actions et tout est strictement inventé. RIEN N'EST RÉEL FAUt pas croire que...
Gaël qui était à la recherche de son frère reconnut son cri. Elle a couru vers le cri et vit son petit frère au visage de terreur. Et... un beau jeune homme qui refermait et soignait la vilaine blessure de son frère ; mais ce qui était le plus étrange c'était que le bel homme ne le soignait pas avec des plantes, des pansements, des liquides etc... Non, sa façon était: d' utiliser une lumière bleu marin qui sortait de ses mains et dont le toucher de cette lumière était curative.
La jeune fille se rapprocha et ne remarqua pas que se trouvait une branche et y marcha dessus. « Crack ! » Et ce fut à ce moment-là que Gaël aurait voulu ne pas être aussi « remarquable ». Le jeune sauveur se retourna ; un visage lumineux, des saphirs magnifiques à la place de yeux et des cheveux d'anges qui reflètent les rayons de soleil. La grande de sœur de Lyan comprit immédiatement qu'il s'agissait la, le fameux coup de foudre. Mais elle se rappela de la raison de sa présence de cet homme divin :
« Puis-je savoir qui a sauvé mon frère ? questionna-t-elle
- Je me nomme Yuruk mademoiselle
"Oh mon dieu quelle voix aussi profonde !" Sa voix résonna dans tout son corps. « Reprends toi Gaël, c'est un inconnu »
- Et vous ? lui demanda.t-il à son tour
- Moi, c'est Gaël, je vous remercie infiniment d'avoir aidé mon frère. »
Sur ses mots, elle prit la main gelée de son frère et tous les deux prirent le chemin pour rentrer chez eux.
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Lyan était étonné ; comment sa sœur n'avait-elle pas reconnue le prince ? Il la questionna :
« Sœurette, tu savais que c'était au prince que tu parlais ?
- Ne dis pas de bêtise ! rougissait-t-elle, Tu te fais des illusions !
- Et je crois aussi qu'il te plait, ajouta-t-il
- Mais qu'est-ce que tu dis !? cria sa sœur maintenant furieuse (oups !), Arrête de m'embêter ! »
Le petit garçon se tut. Il ne savait qu'elle ne voulait pas l'admettre. Mais sa sœur indépendante était amoureuse du prince : mais pourquoi ne volait-elle pas l''admettre ? Lyan avait remarqué la façon que les deux jeunes adultes se regardait.
Mais bon, leur mère les attendait à l'entrée du bâtiment d'habitation. Sa mère était une femme autonome qui n'avait pas besoin d''hommes pour se protéger ou pour faire des activités habituellement masculines. Elle avait la chevelure brune comme la terre fertile avec des mèches blanches par le chagrin de la mort de son père. Avec ses yeux fort, ambrés, elle les attendait impatiemment, les fulminant de son regard. Oh oh, mauvais signe. Cela veut dire qu'il allait pleuvoir des punitions ! Avant que sa mère puisse répliquer quoique ce soit, le petit de dix ans lui raconta la raison de leur absence tardive. Sans les côtés surnaturels comme la guérison magique, la télétransportation et bien sur le coup de foudre ! Quand il eut fini son récit, le regard furibond avait disparu et à la place des larmes discrètes (mais Lyan les avait quand même discernées !) coulaient doucement sur ses joues pales sales.
Mais elle dit avec sa voix la plus basse et calme que son fils n'ait jamais entendue :
« Lyan va te doucher. Et toi, ma fille, va me parler de ce fameux prince. »
Ayant peur de recevoir unecorrection s'il protestait, il rentra dans la maison en bois. Et pour une fois,il n'enviait pas sa sœur de se coucher plus tard que lui.
