Être un chat ? [Katsuki x Reader]

Jour 0

NDA : Tout ce que j'ai à dire c'est que j'étais bourrée quand j'ai écris cette fiction.

C'est-à-dire que j'ai souvent la flemme de répondre aux commentaires et de publier des chapitres de "remerciements" parce que même Dieu sait que 99% des lecteurs n'ont en rien à carrer (moi de même) donc on va pas se faire de mal.

Un jour, une grande philosophe du XXIème siècle a dis :

«Oh djadja. Y'a pas moyen djadja.»

Bonne lecture.

PDV Omniscient :

Dans la vie, il y a des hauts et des bas. Le bonheur vient toujours, il suffit d'attendre. Sauf quand t'es un connard heureux, là, c'est le karma qui va s'occuper de ton cas. Cette fiction aurait pu être un conte de fée : une princesse qui rencontre son prince et qui décide de se marier une semaine après leurs rencontres, bien-sûr, on va rien dire parce que Cendrillon avait une vie de merde chez sa belle-maman ; mais ce ne sera pas le cas.

Ce blondinet impulsif dont les cheveux reflétaient parfaitement le caractère avait grandi. Il vivait sa meilleure vie dans le meilleur des mondes jusqu'au jour où la vie l'a baisé. Ou plutôt le karma.

Car, comme le dit le puissant Mister V : « La vie n'est qu'une pute. »

PDV Katsuki Bakugo :

- J'ai 20 ans, c'est bon, lâche moi vieille peau. je jure en claquant fortement la porte de ma baraque

- KATSUKI REVIENS ICI TOUT DE SUITE !

- J'AI UNE MISSION. JE DOIS Y ALLER.

« Fais chier... »

Agacé, j'enfourche ma moto et me dirige vers le centre ville où  un vilain foutait le bordel d'après les infos. Accélérant la vitesse pour devancer l'autre nerd, j'arrive enfin sur les lieux et aperçois un binoclard aux cheveux verts se tortillant au milieu de la foule en panique : il avait pris une collégienne en otage et tenait deux fioles de sa main libre. Sans la moindre hésitation, je m'approche de lui avant même qu'il n'ait le temps de me repérer pour lui foutre une explosion en pleine tête l'incitant à relâcher l'otage et me donnant l'opportunité de le mettre à terre.

- NE BOUGE PLUS SINON JE TI-

- CRÈEEEEEVE !

Fidèle à moi-même et assuré de ma victoire, j'attrape le poignet de la collégienne et la pousse vers la foule pour ensuite exploser de plein fouet la gueule du vilain qui, en tombant en arrière, renverse le contenu d'une de ses fioles sur moi. Craignant qu'il ait des effets mortels, je me recule vivement et tâtes le liquide jaunâtre dont l'odeur me répugnait. Voyant que cette potion n'avait aucun effet sur ma personne, j'adresse un regard meurtrier à l'ennemi qui se tord de rire et finis rapidement le combat pour enfin laisser les flics se charger du sale boulot en l'enfermant derrière les barreaux pour un long moment. Sous les acclamations des habitants, je reprends la route sur ma moto avec pour ferme intention de prendre une douche pour laver mon corps de cette odeur nauséabonde.

Toujours en cours de route, une étrange douleur fait son apparition au niveau de mon dos, par précaution, je m'arrête sur le bord du trottoir sentant cette douleur se répandre brusquement sur le reste de mes membres. Évidemment, refusant d'apparaître dans un état vulnérable en public, ce fut au fond d'une allée que je souffrais en tentant vainement d'appeler un de mes employés, toutefois la douleur paralysa mon corps m'empêchant de bouger. Allongé au sol, je jure maintes insultes et, après avoir passé 10 longues minutes à lutter, je perds conscience.