26 juillet

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Tu ne m'as jamais parlé de ton copain et je n'allais pas m'en plaindre. C'est pour ça que j'ai presque été surprise quand tu m'as envoyé ce lundi 26 juillet : "toc toc toc, qui est là ? ..... le célibat !".

J'avais totalement oublié l'existence de ton copain.
Tu n'en as presque pas parlé, tu ne semblais presque pas touché par cette rupture.
Ce jour là j'ai réalisé que je surestimais beaucoup trop les relations homosexuelles. Dans mon esprit, une relation entre deux garçons impliquait forcément quelque chose de très sérieux et de l'amour fou, et tu venais juste de me montrer le contraire. Et j'ai compris que je n'aurai assurément pas aussi mal réagi si tu m'avais présenté une petite amie féminine.

Même maintenant je n'arrive pas à l'expliquer ma réaction. Comment expliquer que j'avais totalement paniqué à l'idée que tu choisisses un garçon au lieu de moi ?

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