Partie 9 - Présent (260 mots, vers libre, en cours)

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Une jeune femme, tout à fait ordinaire,
Aux longs cheveux bruns et raides,
Une chemise blanche et des chaussures à talons,
S'y trouve
Attachée sur une chaise, les yeux bandés,
Les pieds et les poings liés.

L'inspectrice se réveille,
Désorientée,
Ne comprenant pas la situation.

- Est-ce qu'il y a quelqu'un ? se manifeste-t-elle. Allô ! Répondez-moi ! Est-ce qu'il y a quelqu'un ?

Elle ne savait rien,
Ni l'heure, ni le lieu.
Terrorisée...
Elle était juste là,
Seule. Toute seule.

Des bruits de pas résonnent dans le long couloir monotone.
Tap, tap. Tap, tap.
Tap, tap. Tap, tap.
Tap, tap. Tap, tap.
Ce sont plusieurs personnes qui s'approchent.

Les pas s'arrêtent ;
Une lumière s'allume.

Puis ils accourent vers elle pour la détacher.

- Ça va Elwen ? demande son collègue Cody.
- Est-ce que j'ai l'air d'aller bien ?

Avant que celle-ci ne s'énerve plus,
Cody décide de lui résumer la situation.

Une étrange fumée s'était propagée,
D'où, les caméras de surveillance n'ont rien pu prendre.
Et en ce laps de temps, tous les faucheurs détenus se sont évadés.
Ils ne comprennent pas comment.

Elwen leur informe qu'un faucheur s'était introduit...
Une cape noire. Mais un inspecteur la coupe,
Pour lire un message qu'il a trouvé là.

"Alors ?
C'est oppressant, angoissant, et énervant
D'être attaché ainsi sans rien comprendre, n'est-ce pas ?

Vous analysez très bien les personnes en peu de temps Elwen OLSEN.
Je pense que je vous ai donné assez d'informations sur moi.
Alors pourquoi vous en donner plus, en vous attaquant ?

En revanche je vous déconseille d'attaquer des faucheurs sans aucun moyen de défense.
Vous pouvez y laisser votre peau.

763"

- Sept cent soixante-trois, répète-t-elle... T'aurais pu me tuer alors.

Pour un monde meilleur [Version bêta]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant